Quand les bons sentiments se déchaînnent, fermez vos fenêtres et attendez que la peste se calme. Ainsi disait-on dans les gettos quand les « gentils » commençaient à s’indigner sur les xxx « rituels » des juifs.
Le rite abominable est toujours le rite de l’autre, et les abominables vengeances contre les rituels exogènes se font toujours au nom des meilleurs sentiments.
C’est vrai que pour les descendants des vaches qui regardaient passer les trains il y a quelqus décennies, la défense de la charolaise vaut bien une messe, mais pas les hommes ou les femmes qui pratiquaient, déjà, des « rituels » indignes.
Aux trous du cul à patte qui semblent normal de crier sur la dignité offensée des animaux, parce que c’est un bon moyen de laisser à bon droit leur haine de l’humain (même ou surtout étranger) se pavaner , on rappellera peut-être quelques bonnes feuilles du talmud ou de la shariah, ou quelques traditions similaires des indiens Sioux dans lesquelles le rituel « cruel » est ordonné au nom du respect de l’animal, et pour minimiser sa souffrance. Règles déterminées par des religions pour lesquelles de l’animal à l’humain, c’est la création dans son entiéreté qu’il convient de respecter.
Ou peut-être qu’on ne leur relira pas cela. Parce que cette race de « gentils » qui assassinent ou exploitent la voisine, mais n’oublient jamais le susucre à son chienchien parce qu’ils sont tellement « bons » qu’ils sont charitables (quand ça les arrange) avec la moindre des créatures, cette race de « bourrés de bons sentiments » sont très certainement de ceux qui brûlent « en toute conscience » les livres qui enseignent des « rituels infâmes » ou dont le « haut niveau de civilisation » ne va pas jusqu’à reconnaitre l’humain dans le peua rouge, le juif, ou l’arabe.
Allez, tiens, j’imagine que je suis une chèvre dans sa baignoire. J’ai envie d’en finir. On m’a dit que la perte de sang générait une sorte d’euphorie. Ce serait la mort la plus douce. Je crois que je vais appeler un boucher arabe. Ciao les « gentils ».