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nyanfouka

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  • nyanfouka 28 juin 2013 20:41

    Merci de vos précisions Berkano Othala. 

    J’ajoute simplement que je parle en connaissance de cause : je connais le goût du bois.
    En revanche, n’en n’ayant jamais goûté, j’ignore si cela ressemble à du cadavre....
    Bokaye !


  • nyanfouka 28 juin 2013 13:40
     Berkano Othala a écrit :
    « Il est important de rappeler que dans le cadre des « tradipraticiens » l’iboga ne doit être pris qu’une seule fois dans sa vie ! »

    Ce n’est pas ce qu’on peut lire dans la littérature sur le sujet, où il est expliqué que l’opérateur de séance prend de l’iboga pour stimuler sa capacité à ressentir les états d’âme des sujets expérimentant les effets de l’iboga et ainsi mieux contrôler les dérives possibles....

    Et aussi il est préconisé de poursuivre une première expérience d’une ou plusieurs autres dans le but d’approfondir les effets ’spirituels’ de la thérapie. Voir article de Don Allan dans la revue : « Primal renaissance, the journal of primal psychologie ». Printemps 1996.

    Rappelons également que l’iboga a été très abondamment étudié depuis de nombreuses années (1952) par des scientifiques de tous horizons, parmi lesquels Robert Goutarel, Directeur de Recherche au CNRS (lire : http://www.ibogaine.desk.nl/goutarel.html ).


  • nyanfouka 28 juin 2013 12:58

    ATTENTION : travail inachevé


    Reste à faire en sorte que le MIVILUDE modifie ses commentaires sur l’iboga, « plante qui tue », puisque le jugement qui justifiait un tel classement a été recouvert par celui qui a innocentée l’iboga comme source du décès de ce malheureux jeune homme.

    C’est très important car cet organisme sert de référent à des tas de sources diverses et variées qui émettent des jugements sur la dangerosité de toute sorte de substances.

    Il est urgent de rappeler que les nombreux documents visibles sur le web décrivaient dès les origines que le volontaire pour un traitement à l’iboga pour se débarrasser de son addiction, doit OBLIGATOIREMENT ne pas être sous l’emprise de sa drogue au moment d’absorber l’iboga. La réussite du traitement nécessite par conséquent une période d’isolation du patient du nombre de jours indispensables à l’organisme pour éliminer toute prise antérieure. C’est la seule façon d’être sûr que le sujet est absolument clean. 

    Dommage que ce « détail » ait échappé aux juges qui se sont prononcés lors de la première instance, pour introduire un doute légitime sur une autre cause possible du décès.... 

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