OJBA

@sylvain Le brexit a simplement éloigné les rosbeefs de l’UE, pas des US

@Ouam (Paria statutaire non vacciné) C’est l’ONU (et la CPI) qui décident de la qualification de génocie. Et tant que le droit de véto existera, les USA l’empêcheront

@Giuseppe di Bella di Santa Sofia. Le pb est que ce sont « des pays » et pas l’UE. Elle s’est défaussé en laissant le bébé à la responsabilité des gouvernents. C’est ce qui est bien quand on a plusieurs donneurs d’ordres. Par contre,il y a une constante, la logique économique. L’abattage avec étourdissement coûte plus cher que sans, matériel, ralentissement du processus, ... . Dans ces conditions et sans vouloir verser dans le complotisme, il est tentant pour les « gros » abattoirs de s’éxonérer de cette contrainte, autorisés qu’il sont à l’abattage rituel, en dépassant largement les volumes de ce dernier, s’ils ne se sentent pas surveillés.

@Eric F Et même si on lui tirait dessus, la balle le traverserait sans faire de mal, tellement il est transparent. Un ectoplasme.

@Et hop ! Le mille-feuilles administratif, typiquement français. On crée une nouvelle couche, d’élus ou pas, qui bien entendu devront être rémunérés, pour cette noucvelle responsabilité, pas activité. Au fait, les journées font toujours 24 heures ? Parce que bon entre les heures passées à dormir, obligatoire, et celles à manger, tout aussi obligatoire mais qu’on peut « maîtriser », le repas au resto surtout précédé d’apéro et suivi de pousse café, on ne conduit pas, c’est le chauffeur, n’est pas un modèle, n’est pas un modéle de rapidité. Il reste combien de temps pour travailler ? En même temps, vu ce qu’ils nous ponsent comme décisions, on en viendrait à se demander s’il ne vaudrait pas mieux qu’ils passent tout leur temps à bâffrer, cela éviterait de faire des sonneries. Au fait, bâffrer, oui, mais au mac do. Mais le pire n’est pas encore là. Nouvelles compétences, nouveau champ de reponsabilités. comme on n’a pas supprimé l’ancien, on se retrouve avec un chevauchement de compétences pour une même décision. On peut alors se retrouver avec un demandeur (de financement) qui, débouté par une instance, va se voir gratifié par une autre. Résultat, on a augmenté le budget de fonctionnement (indemnités), on ne diminue pas le budget d’investissement.