Les fonctionnaires et les agent des entreprises publiques cotisent aussi pour le chômage alors qu’ils ne risquent que très peu de s’y retrouver. Ils cotisent donc par solidarité pour les ouvriers et employés du privé !!! C’est pas beau ça ???
D’autre part, plus il y a de chômeurs, plus le montant global d’allocations est élevé ... et moins il y a de cotisants. Il faut donc augmenter les cotisations de ceux qui créé le chômage ... Cherchez !!!
Tas enfin trouvé le bon Hayek ? (Bon pour toi, parce que pour le peuple, ce n’est pas ce qualificatif qu’il faut) Ce philosophe-économiste est l’inspirateur, avec Milton Friedman, des dictatures sanglantes en Amérique du sud dans les années 70/80, qui en avaient fait leur sorte de laboratoire de destruction des démocraties et monter les élites au pinacle. On se souvent particulièrement de Pinochet au Chili et Videla en Argentine. Quel magnifique résultat !!!!!!! Ton discours sur les talents et les élites, qui soit disant devraient faire l’objet d’un traitement de faveur, les autres n’étant que de sales bobo-coco-jaloux inférieurs, ressemble étrangement aux nauséabonds discours que l’on entendait dans les années 20/30 sur des supposées races supérieures, relayés par Hitler et Mussolini. Désolé de te le dire, spartacus, tu es un facho !!! Un vrai de vrai !!!
Je ne crois pas qu’il soit sain de maintenir éternellement des dispositifs incitatifs à l’achat dans l’immobilier car cela revient à dire que c’est l’état (donc nos impôts) qui finance les bénéfices des différents acteurs (banques, promoteurs, professionnels du bâtiment ...). L’immobilier est largement surévalué et le meilleur moyen est que celui-ci retrouve son juste prix. Donc, il faut attendre 1 an ou 2 avant d’acheter.
Il faut aller voir en Allemagne, où une politique de maîtrise des prix de l’immobilier n’a pas créé de bulle et donc l’immobilier a simplement suivi l’inflation. En France, on a laissé faire la concurrence (spéculation) sous prétexte que çà allait faire baisser les prix, on voit le résultat : 2 fois trop cher. Bravo !!! De plus, avec la crise et le marché du travail actuels, entrainant une baisse du pouvoir d’achat, il va falloir une baisse très importante des prix de l’immobilier tout en conservant des taux bas, si l’on veut que le marché reparte.