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Olga

Olga

ne veut rien oublier de l’homme qui lui sauva la vie et lui permit de dominer ses peurs les plus lointaines. Mais il fut un temps où elle n’aspirait qu’à l’anonymat pour échapper à une police secrète omnipotente. Comme tous ses concitoyens, trop vite soumis, elle acceptait que son pays ait perdu son âme et se soit donné en masse au tyran... Une nuit, alors que deux « gardiens de l’ordre » s’apprêtaient à la violer dans une rue déserte, elle vit surgir son libérateur. Et rien ne fut plus comme avant. Son apprentissage commença quelques semaines plus tard sous la tutelle de V. Elle deviendrait à la fois son unique disciple, sa seule amie et le seul amour d’une vie sans amour...

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Derniers commentaires



  • Olga Olga 27 juillet 2009 12:01

    Mais allez-y, cassez cette tasse à café et déchirez cette facture dans la foulée !
    (parce qu’il y a de la beauté dans la rupture, l’éclatement...) 
     : -) (- :


  • Olga Olga 24 juillet 2009 17:08

    @tonton
    C’est parce que je dois faire partie des filles du bord de mer qui ont du mal à se concentrer... : -) 

    Je me souviens du bord de mer avec ses filles au ton si clair 
    Elles avaient l’âme hospitalière c’était pas fait pour me déplaire 
    Naïves autant qu’elles étaient belles on pouvait lire dans leurs prunelles 
    Qu’elles voulaient pratiquer le sport pour garder une belle ligne de corps 
    Et encore, et encore, z’auraient pu danser la java 

    Z’étaient chouettes les filles du bord de mer 
    Choin, choin, choin 
    Z’étaient faites pour qui savait y faire 
    Choin, choin, choin 
    ....





  • Olga Olga 24 juillet 2009 15:44

    Mince alors ! 
    Merci de me prévenir pour l’enterrement. 
    Pourtant il avait l’air en grande forme l’Haut Séant à Tlantique, le week-end dernier. Une forme éclaboussante, si j’ose dire. Il s’agitait dans tous les sens, en offrant des tasses et des bouillons sans ménager sa peine. C’était donc le chant du cygne... On le croyait indestructible, alors qu’il était au creux de la vague, certainement effrayé d’avoir à punir toutes ces falaises innocentes... 



  • Olga Olga 24 juillet 2009 15:07

    @SANDRO
    Vous me dites cela en raison de ma chevelure taillée au millimètre près, qui ne remplirait plus son office de protection rapprochée, face aux attaques sournoises et répétées d’un astre un peu trop brillant, qui aurait, paraît-il, inventé l’eau chaude ? 

    Je vous rassure tout de suite, les heures d’exposition sont comptées et se limitent à des matinées ou des soirées triées sur le volet. 

    Sinon, je suis curieuse de savoir si d’autres que moi ont également ce « problème » pour lire à l’extérieur. C’est-à-dire que je ne retiens quasiment rien de ce que je suis en train de lire. Trop facilement distraite certainement. Alors qu’entre quatre murs les sources de distraction (visuelles ou sonores) sont « contrôlables ». Peut-être qu’on se laisse plus facilement prendre par le récit quand on lit dans un endroit clos, familier, sécurisant... 
    Tout ça pour dire que lire face à l’océan, c’est mort.

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