Idem en Algérie pour les chansons du répertoire oranais classique
ou »raï« , dont chacun pourra entendre les paroles les plus crues et
particulièrement explicites au niveau sexuel, ceci en famille, mais en
se gardant bien de faire la moindre réflexion sur la teneur du texte de
la chanson..
Chez moi c’est impossible, inimaginable, comme quoi dans un même « pays » les moeurs des populations peuvent être aux antipodes l’une de l’autre. N’est-ce pas monsieur Gazi Borat, spécialiste du mythe Kabyle...
La burka ça pardonne pas car vous pouvez y cacher un homme, une « femme », un androgyne, un petit-gris, un robot japonais, une pleine « couscoussière » de TNT, un espion chinois truffé de caméra, un vecteur de propagation d’Ebola, ainsi que la misère psychologique des femmes dont on veut le plus grand bien.
Dommage qu’il ne renseigne plus avant sur les principaux initiateurs de ces « nouveaux » courants idéologiques qui surfent allègrement sur l’émotion et la culpabilité afin de créer les conditions d’une nouvelle bulle spéculative géante.
Croire qu’il s’agisse uniquement de défendre les intérêts des acteurs de l’industrie et des artistes serait le comble de la naïveté, puisque les procédés techniques préconisés pour combattre le piratage permettent de suivre à la trace les internautes.
La sévérité des sanctions peut s’apparenter à un moyen psychologique mis en balance pour faire accepter un « flicage » permanent et volontaire à l’aide de diverses technologies qui selon l’avis de personnes techniquement éclairées seraient d’ors et déjà contournables.
De plus, l’interopérabilité d’un mouchard qui ne fonctionnerait que sur les plateformes Mac et Windows poserait un problème épineux pour les personnes qui n’utilisent que des logiciels libres.
Pour résumer, vous assurez votre tranquillité et vous vous protégez des injustices de la loi en installant sur votre machine un mouchard logiciel payant et en renonçant volontairement à votre vie privée et à votre anonymat.
Le principal danger serait que les amateurs de partage de fichiers de pair à pair et les internautes lambda se mettent à chiffrer fortement toutes leurs communication et là il serait beaucoup plus pénible de repérer les simples amateurs de musique, des pédophiles ou des « bons internautes » qui paient ce qu’ils consomment.