Née du monde de la misère avec un handicap d’audition, je continue ma vie avec l’espoir que la vie deviendra meilleur. Je suis seule dans cette démarche, car personne ne peut faire à ma place.
J’ai lu quelques commentaires sur cet article, dont celui deYan35. Lorsqu’il dit que des employeurs téléphonne aux chômeurs. Ce n’est pas faut, ce qu’il dit, et c’est une très bonne chose, mais reste à savoir si cela fonctionnera pour tous les employeurs ?
La parole du pauvre est -elle entendu. Elle va probablement l’être si la personne pauvre est reconnu avant tout comme une personne humaine avant d’être étiqueté salement.
Je viens d’une famille très modeste, non seulement par manque de moyens de revenu, mais par une vie socialement rejeté par ce que mes parents étaient malade de l’alcool. Et de se fait l’exlusion sociale, m’a ne m’a pas permi de m’exprimer. C’est à 56 ans que je prend donc la parole.
votre commentaire est juste, les personnes délinquantes et résidivistes doivent payer leur casse et en même temps cela doit prndre l’aspect d’un apprentissage social. Pour moi, c’est aux travailleurs sociaux de tendre la perche à ces personnes, mais cette perche doit être quelque chose que la personne en dérapage puisse s’approprier. Ceci n’est pas simple à trouver. Mais si l’on veux chercher on trouvera.