« La mentalité de compétition, ainsi que l’inévitable pression qui en découle, atteint son paroxisme aux USA. Ajoutez-y une omniprésence des médias et de la publicité (impossible de regarder un film sur une chaîne américaine,... vous passez autant de temps à voir des pubs plutôt que l’histoire) et une individualisation à outrance, sont, je pense des facteurs potentiels (mais sans doute pas les seuls) justifiant ce besoin de mise en avant, même de manière désespérée. Or les médias ont donné raison à cette approche. Chaque drame est source de matraquage médiatique, et le tueur devient un héros. Mieux : on en fait des films. »
En pleine cible : Bull’s eye !
J’ai toujours souligné ce que j’appelle la petite violence des publicités qui viennent constamment interrompre le film à la TV américaine. De plus la plupart de ces publicités ne sont que mensonges, un autre petite violence et pour en finir l’ultime mensonge d’une administration pour justifier une guerre. De petite violence à la violence profonde.
Et les américains de se demander : Pourquoi nous ?
Vous êtes un devin, effectivement, mon candidat Fernandel n’a pas passé. Shit !
Une faute aussi grossière doit être corrigée pour pouvoir prendre l’auteur au sérieux.
Vous dites que Sarkosy est de Birmanie ?