Je ne pourrais pas mieux dire : j’ai eu exactement la même intuition lorsque je l’ai lue, bien que les « marqueurs linguistiques » mettant en évidence l’appartenance à une fraternité commune ne sont pas évidents.
Mais peut-être existent-ils dans la version définitive, ce papier n’étant qu’un brouillon...
Les « brouteurs », comme ils s’appellent eux-même, profitent de la naïvetés de certains européens.
En étant cynique, on pourrait dire que ces derniers contribuent ainsi au dévellopement économiques des pays africains, mais malheureusement ce n’est même pas le cas puisque les brouteurs ne font pas vraiment profiter leurs pays de leur manes :
Le don d’organe pour un greffé, c’est la nécessité de prendre des médicaments anti-rejets à vie, avec tout les risques que cela compose. Pendant ce temps là, on néglige la recherche dans le domaine des organes synthétiques ou artificielles, qui seraient moins contraignants puisqu’il n’y aurait plus de risques de rejet.
"Selon tous les témoignages médicaux ou familiaux, Virginie Darras et
Éric Sabatier vivaient un amour pathologique, fusionnel, dépendant pour
lui, dominant et pervers pour elle. Elle lui imposait des amants sous
son toit, à la table familiale, il cédait le lit conjugal, il « suivai(t)
comme un mouton », de ses propres dires, pour ne pas empirer ce qui
était déjà « invivable ». Même soumission, même explication, pour les
coups et les privations donnés à Marina. Il les lui infligeait « pour
avoir la paix avec la mère », dit-il. "