Une évidence « scientifique » qui est bien dans l’air du temps et qui concoure à culpabiliser les Occidentaux vis à vis des gens de couleur, afin de combattre le soi-disant racisme dont font preuve les Blancs (et exclusivement les Blanc c’est bien connu). Selon certains observateurs, cette manoeuvre est diligentée par ceux qui dirigent la planète en coulisse, ce qui expliquerait l’absence totale de critique de la part des organes de presse et autres personnages politiques et scientifiques
Ne doit-on pas aussi se poser la question de savoir pourquoi, TOUS les médias, donnent l’impression de se faire un devoir de laisser parler ces personnages et rien que ces personnages, sans jamais ni les contredire ni donner la parole à des opposants.
Dans leur pétition "liberté pour l’histoire" du 12/12/2005 qui demandait l’abrogation des lois mémorielles, dont la loi Fabius-Roccard-Gayssot, dix-neufs intellectuels dont Alain Decaux, Jean-Pierre Azéma, Elisabeth Badinter, avaient expliqué que "l’histoire n’est pas un objet juridique. Dans un Etat libre, il n’appartient ni au Parlement ni à l’autorité judiciaire de définir la vérité historique".
Mais, il est piloté de l’étranger ! Il obéit aux mondialistes universalistes, ceux qui dirigent la planète dans l’ombre. D’ailleurs, pour arriver à un poste de responsabilité dans nos démocraSSIES, il faut avoir fait acte d’obédience à ces dirigeants occultes. Le choix des termes en est une parfaite illustration : "les valeurs universelles, le refus du sectarisme, le refus de l’enfermement sur soi..." Ce sont les arguments habituellement employés par ceux qui prônent le métissage universel.
"que le travail aille vers les zones qui en ont le plus besoin"... parce que l’Occident n’a pas, lui aussi, des salariés (dont le seul capital est leur travail) à rémunérer ? Restons sérieux, n’est-ce-pas.
Les règles du commerce mondial, prises à l’OMC, ont provoqué la désertification industrielle de l’Europe, sous prétexte de favoriser le développement des pays tiers (noble but s’il en est). A la vérité, ce soi-disant soucis humanitaire, cachait le but réel, qui consistait à permettre aux milieux de la haute-finance internationale de multiplier les profits. Car, il aurait été possible de favoriser le développement des pays du Sud sans lèser les salariés européens.