@Garibaldi2 Bonjour, Les organismes de prets..... C’est un des exemples qui montre comment les « pauvres » sont devenus une mine d’or pour les riches, et ce, partout sur la planete. Les « riches » ont bien interet a maintenir les « uns » pauvres, pour qu’ils aient besoin d’emprunter pour boucler les fins de mois. (Bien sur, il y en a des frivoles qui voudraient depenser en loisirs, grace a la publicité pour les inciter, mais combien ?). Alors on nous dit....que les riches, les entreprises, « donnent » du travail... alors qu’elle l’achetent, et a bas cout. C’est étudié pour. Les grosses entreprises se cachent derrieres les petites, pour reclamer et obtenir des allegements de charges, (qui seront remplacés par l’import sur les classes moyennes), et les petits entrepreneurs a qui on a donné l’illusion qu’ils sont superieurs au simple salarié, et qu’un jour il seront super riches, les soutiennent mordicus par esprit de clan. Ils payent avec leurs impots, comme les salariés, la rente des banques et leurs frais de fonctionnement. Les banques et autres organismes vivent gratuitement (et elles réclament encore de faire payer au client des frais de papier hygienique), sur le dos du citoyen qui n’a pas été defendu par ses « representants », « élus » au gouvernement, (qui ne sont que les employés du peuple, mais les seuls fonctionnaires qui choississent leurs salaires. On comprend qu’ils ne veulent pas démissioner.). La boucle est bouclée. Comment détricoter ce traquenard ?
@REMY Ronald http://etienne.chouard.free.fr/Europe/ ..... Pensons-y. (Çui qui dit d’emblée que c’est impossible, est un « je sais tout » qui n’a pas envie que les choses changent.)
Comment donc pourrait-on faire diminuer la consommation de tabac alors qu’on ne cesse d’en parler ?. Tous les subterfuges et diversions proposés n’ont jamais empeché les fumeurs, pour de vrai, de penser à une bonne clope. Toute la culpabilisation, tous les reproches du monde n’ont jamais empeché un fumeur de penser à une re-bonne clope. Plus on en cause, plus elle vient à l’esprit.
Chaque fois qu’un fumeur pense/songe/veut arreter de fumer, il pense à la cigarette. Elle est étudiée pour ! Chaque critique contre son manque de volonté, la qualité des vainqueurs, lui fait encore penser à la cigarette, de consolation. Chaque
remede, ou produit avalé contre la dépendance à la cigarette, fait
illico penser évidemment à elle (et surtout, rapporte rudement gros). Les
politichiens focalisent l’attention sur les fumeurs, pour proteger le
vaste négoce des fabriquants, des distributeurs et des vendeurs de
soins. Et les taxes, bien sur. C’est bien plus facile, ... discréditer
des individus isolés, et encore une fois, ça rapporte gros.
On se contrefout des fumeurs, et d’ailleurs, (selon l’investigation d’Elise Lucet),
ce ne sont pas eux qui coutent le plus cher à la sécurité sociale. On
peut meme les mettre dos-à-dos avec les non-fumeurs, et hop ! voila une
nouvelle division de la population ! On peut les utiliser de multiples
façons, les fumeurs, avec un peu d’imagination !
Les
politiciens n’ont vraiment pas envie qu’ils arretent de fumer :
"Fumeurs, on ne vous tendra pas la main, puisqu’on la met dans votre
poche !". Puis quand il n’y a plus rien à y prendre parce que vous etes
mort, voila qu’on récupere le fruit de vos cotisations ! Ploc !
Le seul moment ou le fumeur a la paix, c’est bien quand il roupille. Il n’y pense pas. Et puis, quand il dort, est-ce que son corps réclame sa dose de nicotine ? Non (mon experience). L’envie n’apparait qu’avec un geste, une odeur, une habitude, un truc, plof ! qui déclenche l’association.
La solution serait donc de passer le reste de sa vie à roupiller, ou bien alors d’effacer l’idée de cigarette du cerveau.
La premiere chose est de fuir les médecins qui ne parlent que de volonté, que sans volonté point de salut possible. Qu’est-ce qu’elle peut la volonté d’un fumeur contre une armée de chimistes cigarettiers ? (D’ailleurs, les politiciens ont-ils exigé la divulgation de leurs recettes secretes ?)
La
volonté, elle tiendra quelques années, mais sera sans arret mise à
épreuve, tant que le mécanisme cérébral d’association ne sera pas
annulé. Et pendant ce temps, elle sera moins disponible pour autre
chose.
Ouf,
voila ! J’ai réussi au bout de 37 ans à m’en débarrasser, apres tellement
d’essais à toutes les sauces... Je peux boire un café, passer un coup
de fil, etc. je peux tout faire sans cigarette. Chose impensable il y a
encore 3 ans. Et ...... meme pas souffert, ni une seconde !