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Paradisial

Paradisial

De loin, l’air hautain, en m’approchant, on découvre un être très altruiste. D’apparence infantile, ma jovialité est plutôt angélique. Mon coeur large m’invite à sourire au monde entier. Chevaleresque, j’ai également l’esprit du sacrifice. Scrupuleux, ma conscience m’est une amie fidèle. Exigeant envers moi-même, je le suis également envers les gens. Fin sans quelconque hypocrisie, ma galanterie est spontanée envers le monde entier. Seule exception : les arrogants me sont des êtres translucides, je ne les calcule jamais. Très sensible à la sensibilité des autres, je deviens impassible quand on veut trop abuser de la mienne. Calme, je ne permets pas à la bêtise humaine de me faire déchaîner. Mon majeur défaut est celui d’être perfectionniste.

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Derniers commentaires



  • Paradisial Paradisial 9 août 2010 17:26

    La phacochère montre sa belle dentition, tout en trottinant et levant la queue de son séant. smiley



  • Paradisial Paradisial 9 août 2010 17:18

    En plus des données qu’à fournies Barrous et que j’ai livrées en page 2, je tiens à signaler que les débattements de l’animal suite à son égorgement ne sont pas liés à quelconque souffrance consciente, puisque l’encéphalogramme de l’animal est plat (le système nerveux sympathique n’est plus actif), mais sont dues aux réactions du système nerveux parasympathique ; le corps et tous ses membres se retrouvant en situation de détresse sanguine (à cause de l’absence d’irrigation en oxygène), ce système leur commande de se débattre, d’où les phénoménales convulsions de l’animal abattu.

    Il n’est pas licite au sacrificateur musulman de décapiter l’animal abattu, et la raison scientifique s’en retrouve dans le fait que la décapitation coupe nette la moelle épinière et coupe partant court aux convulsions suscitées par le système nerveux parasympathique, empêchant en conséquence les muscles de s’essorer du sang qu’ils contiennent.

    L’abattage par égorgement comme expliqué par Barrous et par moi-même plus loin est le meilleur moyen de mettre à mort sa nourriture sans souffrances, et d’avoir la viande LA PLUS SAINE à la consommation.

    Il y en a pas mal de non musulmans qui mangent de la viande Halal, conscients de sa qualité. Ceci dit, sans généraliser, certains bouchers pseudo-musulmans ne sont pas assez honnêtes et vendent du n’importe quoi ; reste à l’acheteur son feeling bien entendu pour retrouver le bon boucher, qui soit honnête et propre. Les bouchers turcs sont pas mal.



  • Paradisial Paradisial 9 août 2010 16:53

    Halman,

    Il faudrait en cesser avec votre délire démontiel : personne ne chercher à vous convertir à quoi que ce soit. Restez comme vous êtes , même si vous avez des réactions pas mal écervelées des fois.

    Salam.



  • Paradisial Paradisial 9 août 2010 16:26

    A l’escargot ventriloque,

    L’électrocution correspond à la réception d’un coup de taser très puissant. L’animal reste conscient, mes ses réactions nerveuses (à l’émission) sont annihilées (la réception nerveuse ne l’est pas par contre). Si ses yeux restent ouverts, il peut continuer à regarder, s’ils seraient fermés, il peut continuer toujours à entendre, si son corps ne réagit pas son conscient continue toujours à ressentir tout stimuli extérieur, et donc, en sus de la douleur et du long raidissement musculaire ressentis durant et après l’électrochoc, l’animal peut continuer à ressentir tout sévisse et toute douleur subit après ledit électrochoc malgré sa « passivité » apparente.

    L’abattage industriel consiste systématiquement à :

    1 - électrocuter l’animal,

    2 - le suspendre par la suite par une seule patte (alors qu’il pèse plusieurs quintaux),

    3 - éventrer l’animal, du bas ventre jusqu’au sommet du torax (l’animal toujours vivant),

    4 - lui donner un coup de couteau en plein coeur (ce coup n’est pas directement fatal, et donne beaucoup de temps à l’animal pour agoniser, et contrairement à ce que croient les bouchers, ce coup ne permet pas au corps de s’évider de son sang, par ce que tout simplement le coeur joue un double rôle de succion et de pompage, donc une fois cet organe gâché, le sang ne ressort pas de l’animal)

    5 - avant même d’être complétement tué, souvent les bouchers peuvent procéder au dépeçage mécanisé de l’animal

    Durant ces cinq étapes l’animal reste conscient.

    La mise à mort par pistolet, quant à elle, elle contient une assez bonne série de ratés. La balle n’est presque jamais systématiquement mortelle. Toujours conscient et très souffrant, l’animal peut passer par les cinq processus précédents.

    Dans la façon de faire islamique, l’égorgement direct de l’animal conscient contrecarre à touuuus ces inconvénients là, en plus qu’il permet une singulière épuration de la carcasse de l’animal de son sang, de ses toxines, et de ses hormones, sans oublier le côté spirituel donnant du sens et de la valeur à la chose mangée.

    Dès que l’afflux du sang est coupé du cerveau, par l’action de trancher les carotides, l’animal tombe inconscient, même si sa mort semble brutale et spectaculaire, techniquement et empiriquement l’animal est vraiment INCONSCIENT.

    En campagne, le franchouillard procède encore à l’abattage des porcs et des truies d’un coup de poignard dans le coeur, après avoir donné un coup transversal dans le lard près des cottes. Cette mise à mort est plus pire et douleurouse que l’égorgement de l’animal. Ne parlons pas des campagnards qui abattent encore leur nourriture d’un coup sur le crâne.



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