Merci à Madame Lucet... du vrai journalisme, de la pluie dans le désert...
Ce qui me ramène à ma réflexion de toujours : est-ce que LA CRISE n’est pas une monstre gageure qui donne les coudées libres à tous ces requins de faire le plus de profit possible sans aucun état d’âme ?
Qui jonglent avec les délocalisations au motif de meilleure rentabilité vers les pays où les esclaves pullulent et se contentent d’une poignée de figues comme salaire... ? qui invoquent le regrettable accident quand les morts s’alignent après l’effondrement des locaux insalubres, sans le moindre confort sans aucune sécurité, vétustes et inadaptés aux conditions de travail auxquelles ils sont affectés, mais qui ne s’arrêtent pas pour si peu et font vite reprendre la tâche dès le lendemain aux survivants appeurés mais le ventre affamé... Mais qui sont ces gens... ?
Est-ce que la crise existe vraiment ou est-ce que ce sont ces gens là qui l’on inventée... ?
Les profits sont là... de quelle crise est-il question alors... ? Jamais la crise n’a été plus profitable qu’aujourd’hui pour ceux-là...
« « Je faisais des courses. Je sortais de la pharmacie, j’allais au bureau de tabac lorsque le tueur m’a bousculée. Il s’est retourné et, dans le mouvement, la visière de son casque s’est relevée de quelques centimètres. J’ai alors aperçu un tatouage ou une cicatrice au niveau de sa joue gauche. J’ai aussi entrevu ses yeux à travers la visière. Il avait un regard froid, d’une lucidité effrayante. Un regard que l’on n’oublie pas » a-t-elle affirmé. »
J’ai lu votre article (long, très long), j’admire votre pugnacité à poursuivre vos investigations.
Un premier témoignage en tout début de l’affaire dresse un portrait succinct du personnage.... Il est fait mention d’une corpulence trapue, d’une marque assez visible sur une joue... On n’a plus entendu parler de ce témoignage.