@ le chat : le « petit facteur » est l’héritier idéologique de M Léonard Dawidovitch Bronstein, dit Trotsky (de l’Allemand/yiddisch « trotzen »=défier), le fondateur du communisme de guerre , qui a des millions de cadavres sur sa conscience (massacres, famines) entre 1918 et 1922, et qui a bien mérité son coup de piolet dans le crâne.
C’est comme si un néo-nazi se présentait aux élections, exactement pareil pour moi.
En plus, c’est un lâche : il a refusé de débattre avec Alain Soral car il savait qu’il se serait fait étriller !
@ Yann Amar : ton mépris pour les gens du Nord est consternant, pour moi c’est du racisme.
Et dire que c’est parce qu’on est « aigri » que l’on fait un choix politique plutôt qu’un autre, c’est le degré zéro de la pensée.
Je sais qu’on est sur Agoravox et pas au Collège de France, mais il y a une limite dans la bêtise de certains propos de bistrot ...va te saouler au « pastaga », c’est ton niveau...
@ l’auteur de l’article : Tu seras vieux aussi un jour, donc un peu de respect pour nos anciens stp.
« Quant à la notion de »France qui travaille« , je la trouve nauséabonde, pourquoi pas »arbeit macht frei", pendant que tu y es ?
Oui, mais à l’époque les Européens avaient des couilles, ils étaient fiers de leurs patries, et ne se laissaient pas envahir par des dizaines de millions d’allogènes, bientôt dhimmis, étrangers sur leur propre sol, comme les Serbes du Kosovo.
Vous nous reservez le discours dominant : les « fâchistes » sont les méchants (aucune analyse, amalgame anti historique entre Hitler, Franco, Pétain qui avaient fort peu en commun), le communisme-pas un mot là dessus, on dirait que l’écroulement du Mur de Berlin (le « Mur de la Honte ») et la disparition du Rideau de Fer en 1989 est relégué aux oubliettes, au profit d’un reductio ad hitlerum obsessionnel.
Permettez moi de vous dire que votre analyse est trés conformiste, et à propos de « bête immonde », je vous conseille la lecture du « Livre noir du communisme » de Stéphane Courtois (homme de gauche modérée).
« Quand le peuple vote mal, il faut changer de peuple » [avec l’immigration ?] Bertold Brecht
Le problème de l’avortement est complexe ; je pense que chaque pays européen a ses lois en ce domaine, et la Pologne n’a pas de leçons à donner à la France et vice-versa.
L’avortement constitue tout de même un pis-aller ; je ne comprends pas que tant de femmes y aient encore recours à l’époque où la contraception est largement répandue.
D’autre part, pour ceux et celles qui ne veulent pas d’enfants, quand tout le reste à échoué, il reste le poignet gauche...