Bonjour, Je me suis inscrit récemment sur ce forum car, ayant lu de nombreux articles qui me semblaient traduire un esprit général sortant du discours médiatique officiel, je souhaitais pouvoir participer à des débats constructifs, voire intelligents. Je poste mon dernier commentaire et vous laisse à vos élécubrations hargneuses d’automobilistes bloqués à un rond-point.Adieu.
Entre simili-démocratie et prémices de dictature« molle », gouvernement et conseils d’administration : même combat, celui de la realpolitik au mépris des valeurs essentielles idéalisées dans les mots liberté/égalité/fraternité, dont le plus important est, selon moi, le dernier, car ilpeut conditionner les deux autres.Ces vocables n’ont, à ce jour, plus aucun sens, qui plus est accrochés aux frontispices hexagonaux. Entre « ferme ta gueule » et « cause toujours », comme disait Woody Allen, les politiciens qui agitent les ficelles de la marionnette triste qui s’appelle la France, devraient réflechir à cette citation d’Edouard Herriot : « La politique, c’est comme l’andouillette, ça doit sentir un peu la merde, mais pas trop » : force est de constater qu’actuellement, ce ne sont pas de masques contre la grippe A dont les français ont besoin, mais de masques à gaz.
L’ aboutissement à un geste ultime et froid de non-sens, résultat du règne des Ubu’s sévissant dans beaucoup de (grandes)entreprises, doit faire réfléchir à la partie immergée de l’iceberg : les vrais criminels qui menacent les personnes et les valeurs désoeuvrent en sous-main dans les comités de direction divers et variés et n’ont, par lacheté, souvent qu’un seul but : plaire au monarque de l’ entreprise pour garder les privilèges de cour. Au nom de leur vanité et de leurs terreurs nocturnes, ces gens font vivre au quotidien l’expression de leur infâmie servile et génocidaires , créent un mur de désolidarisation dans lequel finissent, paradoxalement les défenseurs des valeurs humaines premières...
Je recommande la lecture du Dictionnaire du Diable, d’Ambrose Pierce, lequel définit une période de Paix comme un espace entre deux périodes de combats. Globlement conditionné, même inconsciemment, par la venue d’une guerre incontournable, (l’homme est ainsi fait), beaucoup de personnes sans but, sans valeurs, ou affichant de fausses valeurs, utilisent celles qui en ont un, ce qui crée des myriades de micro-conflits et un climat social général. Nous sommes entrés danns l’oeil du cyclone : où sont ces valeurs ? Quels sont ceux qui les représentent ? Attention : qui plus est, comme disait Verlaine, il ne faut jamais juger les gens sur leur mine, ni sur leurs fréquentations ;« Judas, par exemple avait des amis irréprochables... »