L’UE va dépenser 3 millions d’euros pour une campagne de communication sur internet.
En effet, l’ UE a décidé de payer des trolls ( communicants sur internet), afin de promouvoir l’ Europe sur internet et sur les réseaux sociaux, pour un montant total de 3 millions d’euros.
L’ UE compte cibler les sites web critiquant l’ Europe pour sacampagne de propagande pro-Europe. Ces “communicants” prêcheront donc la bonne parole européenne sur le web avant et pendant les élections européennes de juin 2014, et se lanceront dans des débats virtuels avec les eurosceptiques.
£2 millions, soit 3 millions d’euros, seront donc affectés à cette campagne de propagande de l’ UE. “Une attention particulière doit être accordée aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme”, selon un document interne confidentiel [...] Les communicants des institutions parlementaires doivent être habilités à appréhender [contrôler, littéralement, ndlr] le débat et l’opinion publics, sur le terrain et en temps réel, au sein des diverses conversations sur ces médias sociaux et blogs, de décrypter les « sujets tendances » et développer la capacité d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente, de se joindre aux conversations et les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes.”
Cette campagne de propagande de l’ UE à 3 millions d’euros servira donc à essayer de regagner la confiance des citoyens dans les institutions européennes… Pas sûr que cela fonctionne.
Le Parlement européen va débourser environ 2,5 millions d’euros environ pour lancer une armée de « trolls » sur Internet, et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pour lutter contre l’euroscepticisme en vue des élections de 2014, qui auront lieu entre le 5 et le 8 juin 2014.
C’est le Daily Telegraph qui a révélé l’information le 3 Février 2013. Le journal a eu accès à des documents confidentiels qui révèlent la planification d’une campagne sans précédent de réorientation de l’opinion publique, avant et pendant les élections de juin 2014.
Au cœur de cette nouvelle stratégie : « des outils de contrôle de l’opinion publique » destinés à déterminer si certains débats de nature politique ayant lieu entre participants des médias sociaux et autres blogs sont susceptibles d’attirer l’attention médiatique et publique.
Les communicants des institutions parlementaires devront être capables de décrypter les « sujets tendances » au sein des conversations et d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente ; il s’agit pour eux de « se joindre aux conversations et de les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes ».
Selon le document mis à jour par le Daily Telegraph, les « trolls » européistes auront pour mission de subvertir le sentiment qu’expriment de plus en plus d’Européens, à savoir que « l’Europe est le problème », et de le retourner, de sorte que chacun en vienne à considérer que la réponse aux défis actuels est « plus d’Europe », et non pas « moins d’Europe ».
Une attention toute particulière doit être accordée, nous dit-on, aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme. La France, qui a massivement rejeté le Traité constitutionnel européen le 29 mai 2005 (55%), devrait donc être particulièrement ciblée par cette campagne de propagande, visant à redresser les jugements inadaptés – incorrects – sur la construction si prometteuse de ce « premier empire non impérial » qu’est l’UE, dixit Barroso.
Le Parlement européen va débourser environ 2,5 millions d’euros environ pour lancer une armée de « trolls » sur Internet, et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pour lutter contre l’euroscepticisme en vue des élections de 2014, qui auront lieu entre le 5 et le 8 juin 2014.
C’est le Daily Telegraph qui a révélé l’information le 3 Février 2013. Le journal a eu accès à des documents confidentiels qui révèlent la planification d’une campagne sans précédent de réorientation de l’opinion publique, avant et pendant les élections de juin 2014.
Au cœur de cette nouvelle stratégie : « des outils de contrôle de l’opinion publique » destinés à déterminer si certains débats de nature politique ayant lieu entre participants des médias sociaux et autres blogs sont susceptibles d’attirer l’attention médiatique et publique.
Les communicants des institutions parlementaires devront être capables de décrypter les « sujets tendances » au sein des conversations et d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente ; il s’agit pour eux de « se joindre aux conversations et de les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes ».
Selon le document mis à jour par le Daily Telegraph, les « trolls » européistes auront pour mission de subvertir le sentiment qu’expriment de plus en plus d’Européens, à savoir que « l’Europe est le problème », et de le retourner, de sorte que chacun en vienne à considérer que la réponse aux défis actuels est « plus d’Europe », et non pas « moins d’Europe ».
Une attention toute particulière doit être accordée, nous dit-on, aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme. La France, qui a massivement rejeté le Traité constitutionnel européen le 29 mai 2005 (55%), devrait donc être particulièrement ciblée par cette campagne de propagande, visant à redresser les jugements inadaptés – incorrects – sur la construction si prometteuse de ce « premier empire non impérial » qu’est l’UE, dixit Barroso.
Ne vous fatiguez pas avec des personnes comme Isga ils font probablement parti de la cellule de propagande pro-Européenne financée par l’union et donc par nos impôts. Ils sont connectés et postent des messages a longueur de journée et leur texte ne sont que de vulgaires copiés collés de document mis à leur disposition afin d’argumenter en faveur des région. Je vous met l’article qui prouve ce que je dis juste en dessous. Mais ça saute tellement aux yeux que, j’ose espérer, personne ne s’est fait berner.
Le plus drôle dans l’autonomie des régions c’est qu’elle seront effectivement autonomes vis a vie de la France mais complètement contrôlées par l’Europe et donc au final pas autonome du tout.
Faites passer le message connaître son adversaire est essentiel
L’article date du 14 fevrier 2013
L’espress.be :
L’UE envisage de se doter d’une cellule de propagande pro-européenne’
Le journal Marianne rapporte que le Parlement européen réfléchit depuis juillet dernier à un projet « d’analyse qualitative des médias » et « d’outils de surveillance de l’opinion publique » avec un budget de 2 millions d’euros, qui n’a pas encore été totalement validé.
« Que le Parlement européen communique sur ses travaux et son rôle est légitime, mais qu’il finance des programmes visant à influencer les électeurs sur les réseaux sociaux n’est pas sans poser de problèmes éthiques », commente Jean Dominique Merchet sur le site de Marianne, tout en notant que l’UE, qui a pourtant revu son budget à la baisse, ne s’est pas montrée avare sur ce type d’initiatives.
« C’est le genre d’état d’esprit que je m’attendrais à rencontrer en Iran, mais pas en Occident. Cette idée décalée est un peu révélatrice de l’avenir de la réglementation de la presse. Elle suggère que le projet européen est finalement incompatible avec la notion d’une société libre », a commenté le Le député conservateur britannique Douglas Carswell.