• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Patmig

Patmig

un combattant de la véritée !

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 2 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • Patmig Patmig 10 juin 2013 21:43

    Armes chimiques - Damas prêt à recevoir la commission d’enquête de l’ONU

    Une commission d’experts a été mandatée par Ban Ki-moon pour enquêter sur ce qui s’est passé à Khan al-Assal.

     

    Publié le : 10 Mai 2013 - Avec agence, LE MATIN

    La délégation telle qu’elle a été établie par le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon doit enquêter sur ce qui s’est passé à Khan al-Assal.

    La Syrie est prête à accueillir immédiatement la commission d’enquête de l’ONU sur les armes chimiques, et affirmer le contraire est un « mensonge », a indiqué le vice-ministre syrien des Affaires étrangères. Il a par ailleurs assuré que les Présidents américain et syrien Barack Obama et Bachar al-Assad avaient la même conception des « lignes rouges » sur les armes chimiques. « Nous étions prêts et nous sommes toujours prêts maintenant, à cette minute, à accueillir la délégation telle qu’elle a été établie par (le secrétaire général de l’ONU) Ban Ki-moon pour enquêter sur ce qui s’est passé à Khan al-Assal », a déclaré Fayçal Moqdad. « Nous avions ajouté que si l’enquête à Khan al-Assal s’avérait professionnelle, honnête, neutre nous serions d’accord pour examiner les autres cas », a-t-il ajouté.

    Le régime syrien a accusé l’opposition d’avoir eu recours à des armes chimiques le 23 mars à Khan al-Assal près d’Alep (nord) et a demandé une enquête de l’ONU. Mais selon l’ONU, Damas refuse que les enquêteurs se penchent aussi sur des accusations similaires portées contre l’armée syrienne par Londres et Paris et concernant des incidents à Khan al-Assal ainsi qu’à Homs (centre), le 23 décembre 2012. « Les rumeurs selon lesquelles la Syrie a empêché la mission de venir sont absolument incorrectes, folles et inacceptables. C’est un grand mensonge », a-t-il ajouté. Une commission d’experts a été mandatée fin mars par le secrétaire général de l’ONU pour faire la lumière sur l’usage éventuel d’armes chimiques en Syrie, mais selon l’ONU elle s’est vue refuser en avril l’accès au pays par le gouvernement syrien.

    Pendant ce temps, le secrétaire d’État américain John Kerry, qui enchaîne depuis trois jours des rencontres sur la Syrie, a répété jeudi lors d’une visite à Rome que le président Bachar al-Assad ne pourrait pas faire partie d’un gouvernement de transition. Toutes les parties en présence travaillent « pour mettre en place un gouvernement de transition issu d’un consensus, ce qui signifie clairement pour nous que le président (Assad) ne participera pas à un gouvernement de transition », a déclaré M. Kerry à la presse avant de rencontrer le chef de la diplomatie jordanienne, Nasser Judeh.

    M. Kerry a aussi confirmé officiellement le déblocage de 100 millions de dollars supplémentaires d’aide humanitaire aux réfugiés syriens, dont près de la moitié servira à aider la Jordanie à faire face à l’afflux de Syriens fuyant ce conflit qui dure depuis 26 mois. Les préparatifs en vue d’une conférence internationale pour trouver une solution à la crise continuent, a indiqué M. Kerry, qui lors d’une visite cette semaine à Moscou a convenu de travailler en tandem avec son homologue russe Sergueï Lavrov.

    Au moment où le chef de la diplomatie américaine exige le départ d’Assad, le vice-président Joe Biden a souligné que l’administration américaine actuelle était extrêmement prudente dans le dossier syrien car elle avait à l’esprit les erreurs commises à son sens lors de l’invasion et l’occupation de l’Irak en 2003. C’est la première fois qu’un haut responsable de l’exécutif américain établit aussi clairement le lien entre la décision d’envahir l’Irak il y a dix ans et l’attitude actuelle de Washington face à la Syrie, où la révolte contre le régime Assad qui a éclaté il y a deux ans s’est transformée en guerre civile. Le conflit a coûté la vie à plus de 70 000 personnes selon l’ONU.

    Mardi, M. Obama avait défendu la stratégie adoptée par son gouvernement dans ce dossier, où des élus du Congrès l’ont pressé d’adopter une ligne plus dure en donnant son feu vert à la livraison d’armes aux rebelles ou à l’instauration d’une zone d’exclusion aérienne. « Je ne prends pas de décisions sur la base de perceptions. Je ne peux pas réunir de coalitions internationales autour de perceptions. Nous avons essayé cela dans le passé, au fait, et cela n’a pas tellement bien fonctionné », avait-il ajouté, dans une allusion évidente à l’invasion de l’Irak. Kerry rencontre Blair pour relancer le processus de paix

    Le secrétaire d’État américain John Kerry a rencontré jeudi à Rome l’envoyé spécial du Quartette sur le Proche-Orient Tony Blair pour tenter de relancer le processus de paix israélo-palestinien. Les deux hommes se sont entretenus en privé pendant deux heures après que M. Kerry eut aussi rencontré le chef de la diplomatie jordanienne Nasser Judeh. « Pendant quelque trente ans, il y a eu une demande contrariée pour tenter de résoudre les problèmes du Proche-Orient, et il est évident que, lorsqu’il y a un vide ou des délais, des choses néfastes se produisent, des choses arrivent qui contrarient les possibilités de paix », avait déclaré un peu plus tôt John Kerry dans une conférence de presse aux côtés de son homologue italienne Emma Bonino. « Les gens à qui on dénie la paix peuvent en dernier recours trouver d’autres moyens de satisfaire leurs aspirations », avait-il dit.

    L’aide humanitaire américaine se monte désormais à un total de 510 millions de dollars, auxquels viennent s’ajouter 250 millions d’aide directe aux rebelles syriens combattant le régime d’Assad. Chassées par les combats, quelque 2 000 personnes franchissent la frontière syro-jordanienne chaque jour. Depuis le début de la guerre civile en Syrie, plus de 1,5 million de Syriens ont fui le pays pour se réfugier en Turquie, en Jordanie et au Liban, mettant les ressources de ces pays à rude épreuve.



  • Patmig Patmig 10 juin 2013 21:41

    Doit-on croire ce que prétend Le Monde au sujet du gaz sarin, soit-disant utilisé par Bachar el-Assad contre les mercenaires de l’impérialisme americano-sioniste, quand on se souvient des mensonges que ce journal a fait circuler en 1994 pendant le génocide du Rwanda commis par la France ?

    Selon Carla del Ponte, l’ancienne procureur à la Cour pénale internationale et membre de la Commission d’enquête de l’ONU sur les violations des droits de l’homme en Syrie, ce sont les « rebelles » qui utilisent du gaz sarin :

    Car, bien sûr, Damas, loin de refuser l’enquête de l’ONU, était dès le début prêt a l’accueillir :

    Nous apprenons que l’agent israélien Botul-BHL est « membre du conseil de surveillance du « Monde » ». Gageons qu’ainsi, après avoir été dirigé par Colombani, l’honorable correspondant à la DGSE (service secret français), Le Monde est bien surveillé !

    Il est courant que les journalistes aient plusieurs casquettes. Journaliste et flic, journaliste et agent secret, etc. De toute façon, l’on sait bien, depuis Tintin et les Dupond-t, que la complicité entre certains journalistes et diverses polices est un phénomène courant.

    Par exemple, en 1994, pendant que la France commettait le génocide du Rwanda, le journaliste du journal « Le Monde » qui était sur place était un agent secret de la DGSE ! :

    Extrait de ce fichier PDF :

    « Mais déjà, l’entourage du président fait courir le bruit que Jean Hélène n’est pas simplement un journaliste. Il serait un agent de la DGSE, les services secrets français. Il aurait été envoyé en Côte d’Ivoire pour préparer l’ascension du RDR et de son président Ouattara.

    « Jean-Paul Gouteux, chercheur en entomologie médicale passionné d’Afrique, auteur de nombreux ouvrages sur le Rwanda, avait déjà dénoncé le supposé rôle de Jean Hélène au Rwanda l’accusant d’avoir édulcoré le rôle des génocidaires hutus lorsqu’il écrivait pour le quotidien Le Monde.

    « Le 31 mars 2000, la cour d’appel de Paris déboutait Jean-Marie Colombani, directeur du Monde, et Jacques Isnard, spécialiste du même journal pour les questions de défense, de leur assignation pour diffamation contre Jean-Paul Gouteux et son livre Un génocide secret d’État. La France et le Rwanda 1990-1997.

    « Tout au long du génocide perpétré d’avril à juin 1994 par le « Hutu Power » contre la communauté tutsie du Rwanda – grâce à la complicité active des autorités françaises -, Le Monde était accusé par Jean-Paul Gouteux d’avoir rendu compte de la situation avec une partialité envers le pouvoir français.

    « Le deuxième livre de Jean-Paul Gouteux, paru en 1999, était lui aussi assigné par le quotidien. La justice reconnaissait à l’auteur du livre Un génocide secret d’État le bénéfice de la bonne foi. Le tribunal de grande instance de Paris allait jusqu’à inscrire noir sur blanc, dans ses attendus, que les deux journalistes [Jean-Marie Colombani et Jacques Isnard] pouvaient à bon droit être qualifiés d’honorables correspondants des services français, DGSE en tête. »

    Note du 28 mai 2013 : Gageons que les pseudo-témoignages des prétendus « journalistes » du Monde auront servi entre autres à empêcher la prolongation de l’embargo sur les livraisons d’armes en Syrie :

     


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité