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Patrice17

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  • Patrice17 30 octobre 2010 18:35

    C’est une blague cette article, une blague islamique. Le mensonge organisé en système pour servir l’islamisation. 


    Faire passer l’islam pour une gentille idéologie alors que partout sous le règne de sa pensée, le totalitarisme (dictature politique - encadrement social - interdiction de la liberté de conscience et de pensée ) organise son pouvoir !! 

    Cet article est un article de musulman endoctriné. Il ne fait référence à aucun travail de l’histoire moderne. 

    Non, l’islam ne peut pas faire partie de l’Occident. Ni le Coran, ni les hadiths, ni la chari3a ne sont compatibles avec la démocratie et les DH. Les musulmans le savent. Il s’agit juste de conquérir une nouvelle terre... 

    Terminé l’imposture !!




  • Patrice17 1er octobre 2010 21:04

    Un article qui ne vaut que pour sa bonne conscience... 


    Ce type d’analyse est produit depuis le XIXe s sans aucun effet productif... Parce qu’il part d’une analyse totalement idéologique !

    On met en place le projet, mais on ne décrit jamais les moyens, ni les forces de contraintes qui paralysent la mise en place d’une telle politique !

    Il est toujours plus facile de passer pour le brave intellectuel plein de bonne conscience que pour celui qui critique, met au clair les blocages d’une telle dynamique. 

    Personnellement, je prends beaucoup plus plaisir à pointer du doit les failles, les défauts de structures qui empêchent celle-ci de se renouveler et d’intégrer le système monde harmonieusement.

    Mr Bensred produit une analyse macro-politique reposant sur les forces géopolitiques classiques (ressources, énergies, stabilité) sans jamais entrer dans le détail des blocages internes. Je vais donc tenter de compléter brièvement cet article avant d’écrire personnellement sur ce sujet. 

    -Le blocage le plus important de ce monde arabe est justement cet « arabité » qui ne se donne dans aucune langue accessible au plus grand nombre. La langue arabe orale est partout un patois de quelques milliers de mots très simples impropres à dessiner la complexité du système monde (économie de production, Etat-nation, citoyenneté, système vérité scientifique...). 
    -Plus encore, la langue arabe écrite ne plait pas aux « arabes ». Les jeunes Egyptiens autant que leurs homologues Marocains trouvent rébarbatif son enseignement. Une langue écrite très largement différente de leur « darija » (dialectal) qui seule charrient les émotions, les sentiments, les moeurs et coutumes et autres lieux communs qui dessinent leurs quotidiens.
    La langue arabe écrite (fosha) apparaît rèche, compliquée, informelle, désuète à l’écrasante majorité de ce qu’on appelle les « arabes ». 

    Voilà donc nos bons peuples arabes limités pour 80% d’entre eux à un patois d’une grande richesse émotive mais dont la complexité conceptuelle leur interdit toute compréhension systémique. Pour cela, tous le savent, il faut parler l’anglais ou le français ou une langue européenne acquise par émigration... Cela concerne là encore l’écrasante minorité de cette population. 

    -De ce goulet d’étranglement découle tout le reste... Les résultats catastrophiques obtenus par les systèmes éducatifs nationaux. L’activité de lecture réduite à néant à l’échelle de pays entier. L’absence quasi totale de recherche scientifique et d’ouverture aux sciences humaines. La diffusion de l’islamisme radical ou d’un islamisme pieux et improductif... 

    -Celui-ci vient renforcer encore le rejet de toute ouverture à la modernité et la fossilisation d’une culture rurale ou bédouine largement prégnante parmi le peuple. 

    Ce cercle vicieux explique la grande inertie des peuples arabes et leur improductivité culturelle ou économique. Cette pauvreté interdit alors aux Etats toute marge de manœuvre réformatrice. 

    -Ce sont ces faits beaucoup plus que les forces géopolitiques externes qui doivent expliquer les faiblesses du monde arabe. 

    -Pour illustrer cette thèse, je prends pour exemple les maintes initiatives prises par les Européens à l’échelle des Etats ou de l’UE pour favoriser la formation d’un grand Maghreb. Or toutes avortent. Quid des forces géopolitiques mondiales pour expliquer ces revers ? 

    Le nationalisme désuet, la fierté maladive, l’absence d’organisation des marchés productifs pour faire pression sur les gouvernements en faveur de l’ouverture, les élites intellectuelles inaudibles, les journalistes disciplinés, les masses amorphes interdisent toute opposition aux clans qui se sont appropriés le pouvoir. 


    -Dire ces faits, les dire et les écrire, les appuyer d’arguments et d’exemples toujours plus illustratifs permettrait de rendre compte des blocages du monde arabe bien mieux que de parler des forces géopolitiques mondialisés qui sonnent creux. 

    -Construire le monde arabe (j’en partage l’idée et l’espoir) passe aujourd’hui par sa critique sans concession répétée jusqu’à voir frémir une lueur de contestation. 
    -Personnellement je considère que la formation d’une langue nationale seule ébranlerait l’édifice conservateur et involutif qui encadre les populations arabes aujourd’hui. 


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