Je suis l’ami auquel William Karel se réfère dans son article en indiquant que sur DIEN BIEN PHU LE RAPPORT SECRET, personne ne parle.
Même s’il n’est pas faux que l’Amérique se livre plus et est plus accessible à nos micros et cameras, l’exemple choisi n’est pas le bon.
Dans DIEN BIEN PHU LE RAPPORT SECRET, les témoins « témoignent » de ce que pour quoi ils ont été choisis... le récit de leur bataille, vu par eux, vécu par eux, par eux simplement.
En excluant toute considération style « café du commerce ».