Il y a encore beaucoup d’autre raison de s’agacer des manies de langage de nos chers journalistes. Celle qui m’exaspère le plus c’est le mot « victime » utilisé pour désigner le nombre de morts « l’incendie qui a ravagé l’immeuble à fait deux blessés et fort heureusement aucune victime », comme si les blessés et les personnes qui ont perdu leur appartement et tous leurs biens dans un incendie n’étaient pas elles aussi des victimes !