Je suis de ceux qui sont fâchés avec l’orthographe.
Ce qui rendra suspect ma position pour une expression écrite plus simple.
Alors juste quelques points de réflexions pour ceux qui ne m’aurons pas disqualifié d’emblée :
-La normalisation stricte de l’orthographe est très récente au regard de l’histoire de notre langue qui aura parfaitement évolué sans, tout en donnant des chefs- d’œuvres.
-Le but premier de l’orthographe est d’être parfaitement compris. Or beaucoup de fautes n’affectent en rien à la compréhension.
-La sélection par l’orthographe, bien qu’aussi légitime que d’autres, amène une partie des enseignants (surtout prof des écoles) à avoir de grosses lacunes dans les matières techniques et scientifiques. Pire pour le personnel politique qui généralement s’exprime mieux que la moyenne mais à un niveau scientifique discutable.
-Un niveau de complexité tel que seuls quelques experts (0,1% de la population ?) peuvent prétendre ne pas faire de fautes entrave plus l’expression qu’il ne le favorise. Ce qui est, me semble-t-il, totalement contre productif.
-Cette glaciation de notre langue la rend inapte aux évolutions. La plupart des innovations ce voit affublée d’un anglicisme sans équivalent dans notre langue.
Ce qui du reste amène à encore plus de complexité, ne serait ce que pour l’apprentissage de la prononciation des syllabes.
@Esprit Critique Le mariage est, en république Française, un contrat juridique liant deux personnes (héritage, filiation, responsabilité parentale…) Que certains, souvent par conviction religieuse, lui donne d’autres prérogatives est leur droit. Pour peu qu’ils respectent la loi. Mais cela ne change pas les choses. Pour en revenir au sujet je ne trouve pas étonnant que les différentes religions imposent certaines choses à leurs fidèles, y compris pour le mariage. C’est parfois regrettable (virginité, polygamie, patriarcat) mais c’est la logique même d’une religion qui fixe un cadre de vie et des règles. Tant que les lois de la républiques sont respectées c’est acceptable. Ce qui est le cas pour le sujet de cet article la loi.
Ce qui n’étonne dans cette affaire c’est moins l’appréciation bénéfice/risque qui diffère d’un pays à un autre, que les énormes différences dans les relevés d’incidents/ effets secondaires selon les pays.