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Petit Eskimo

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  • Petit Eskimo Petit Eskimo 21 avril 2013 19:24

    Bonsoir Wesson,


    Vous dites que l’on ne peut voter front national sans être raciste, vous basant sur les échanges dont vous avez été le témoin lors de réunions de sympathisants de ce parti, très bien.
    Mais je me demande alors si tous les votants ou aspirants votants front national assistent à ces réunions de « passympathisants » ?
    En clair, parmi tous les votants et aspirants votants èfène n’y a t’il que des personnes soutenant des idéologies racistes ou peut-être s’y trouveraient également des gens qui, désabusés par des conditions de vie difficiles, ne voient d’autre issue que le rejet des pouvoirs en place par un vote de sanction ?


  • Petit Eskimo Petit Eskimo 20 avril 2013 11:14

    Bonjour à toutes et à tous,


    J’ai lu cet article ainsi que certains des commentaires qu’il a pu susciter.

    Plutôt d’accord avec l’auteur, je me suis fait tout petit lorsque celui-ci s‘est vu reprocher l’ambivalence de son positionnement politique : barre à gauche toute, pro-Mélenchon mais pourtant trop souvent dans la critique du Front de Gauche et de son leader.

    Je suis demeuré interdit, je ne savais plus quoi penser jusqu’à hier soir.

    Et je suis allé au cinéma,
    oui-oui, au cinéma !

    J’y ai vu un film sobrement intitulé « NO ».

    Réalisé par un homme de 36 ans, Pablo Larrain c’est son nom, chilien, le film relate le déroulement de la campagne menée lors de la première élection démocratique, par référendum, faisant suite à l’accession au pouvoir du Général Pinochet au Chili en 1973.

    Nous suivons un jeune et semble-t’il brillant publicitaire, jeune père de famille, au train de vie aisé, fraichement rapatrié au pays. Très vite, celui-ci est approché par une ancienne connaissance, leader d’une formation d’opposition au pouvoir en place, qui l’enjoint à donner son avis sur le film que diffusera la coalition de partis d’opposition à la télévision dans le cadre de la campagne pour le référendum (dont le résultat n’apporterai rien de moins qu’un changement de gouvernement).

    Rappel du clivage social, des exactions menée par les forces de l’ordre, des disparitions de civils, de la toute-puissance de l’armée, du bâillonnement des opinions et j’en passe, le film que souhaitent alors diffuser les forces d’opposition est un réquisitoire sévère contre le pouvoir en place.

    Cependant, comme le fait remarquer notre jeune publicitaire interprété par Gabriel Garcia Bernal dont le nom et le visage doivent être connus de plus d’un, un tel spot peut-il amener la victoire ?

    La réponse est non.

    Tout le film se concentre alors sur l’élaboration par notre publicitaire de génie et d’une équipe de communication, d’un message fort articulé autour de notions universelles, positives et fédératrices comme la joie et la foi en un avenir meilleur, support indispensable selon eux à une percée électorale.

    Et si seront toutefois rappelées les torts du pouvoir en place par notre équipe de petits malins, cela sera instillé au sein d’une trame plus vaste, non discriminante, qui elle seule permettra de rassembler toujours plus d’opinions favorables aux partis d’alternance.

    Le titre du fil « NO » est un clin d’oeil au référendum, le non étant défendu par la coalition des partis d’opposition qui exprimaient à travers lui leur souhait de changer de régime politique.

    Le général Pinochet perdit ce référendum de 1988 et le Chili ouvrit un nouveau chapitre de son histoire.

    Je suis d’accord avec Fergus, je crois que la forme est extrêmement importante dans le discours politique. Si l’on veut faire passer ses idées, si belles soient-elles, l’on se doit justement d’être capable de susciter l’adhésion du plus grand nombre.

    Et ce n’est pas tant une gageure qu’un principe de réalité.

    A bon entendeur...


  • Petit Eskimo Petit Eskimo 26 mai 2012 11:02

    A schweizer.ch,

    "Rassurez-vous, ils sont pas tombés sur la tête, les Grecs : ils se sont goinfrés de fonds structurels pendant trente ans - j’ai entendu parler de 240 milliards -, et ils se disent que ça pourrait recommencer… »

    Les enfants nés en Grèce entre 1980 et aujourd’hui et leurs parents qui ont pourvu aux besoins de tous ces foyers seraient-ils les responsables de la situation actuelle des finances de leur pays ? 
     smiley


  • Petit Eskimo Petit Eskimo 21 janvier 2012 20:28

    Ne pas accepter les termes d’un contrat sans verser dans l’ultra-violence, ce n’est pas possible ?



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