Si, bel et bien, Claus Von Stauffenberg était politiquement
un conservateur pro-nazi, graduellement après l’entrée en guerre, il entre en
dissidence. Sa carrière sous le régime nazi se déroule dans
la Werhmacht. Son dernier grade dans l’armée est colonel dans
l’état-major général et non comme général SS.
Cela ne retire rien à la justesse de votre analyse du
règne Sarkosiste (et des piliers qui l’ont installés), mais quel dommage que
les faux attributs de fonctions prêtés à Von Stauffenberg viennent ternir votre démonstration.
Si vous en avait la possibilité, il conviendrait d’apporter un rectificatif
afin que tout votre exposé, que je partage, se tienne rigoureusement.
Si, bel et bien, Claus Von Stauffenberg était politiquement
un conservateur pro-nazi, graduellement après l’entrée en guerre, il entre en
dissidence. Sa carrière sous le régime nazi se déroule dans
la Werhmacht. Son dernier grade dans l’armée est colonel dans
l’état-major général et non comme général SS.
Cela ne retire rien à la justesse de votre analyse du
règne Sarkosiste (et des piliers qui l’ont installés), mais quel dommage que
les faux attributs de fonctions prêtés à Von Stauffenberg viennent ternir votre démonstration.
Si vous en avait la possibilité, il conviendrait d’apporter un rectificatif
afin que tout votre exposé, que je partage, se tienne rigoureusement.