Au vu de la réaction du Département d’État américain, il me semble que
le gros des révélations est à venir. Les quolibets décrivant aux dirigeants
de ce monde et le numéro de téléphone de Ban Ki-moon ne sont
apparemment que de petits amuse-gueule.
L’analyse de cet article est excellente. La presse est coincée et la
diplomatie gigote dans tous les sens. Reste à voir le décalage dans le
temps leur permettra de noyer le poisson, ou de recouvrir l’information
par des informations encore plus inquiétantes.