Avez-vous essayé d’acheter du métal physique ces derniers temps ? Bonne chance. Les Etats-Unis sont quasiment en rupture de stock, pour les pièces. L’Hôtel de la Monnaie canadien travaille à toute vitesse pour répondre à la demande de Maple Leafs. Et en Afrique du Sud, la Rand Refinery — qui fournit la pièce d’or la plus populaire de la planète, le Krugerrand — travaille à pleine capacité sept jours par semaine. Vous avez de l’or ?"
* "Alors qu’est-ce qui se passe pour l’or physique ? Il y a une forte demande de métal réel. Selon le Financial Times, ’les investisseurs aurifères exigent des niveaux physiques ’sans précédent’ de barres et de pièces et les stockent dans leurs propres coffres alors que les craintes concernant le système financier mondial s’approfondissent’."
* "Que savent ces investisseurs en or ? De toute évidence, le prix de l’or affiché est bas. C’est une autre manière de dire que l’or est sous-évalué par rapport à la véritable demande. En fait, le prix affiché nettoie le marché comme un aspirateur".
* Le prix de l’or ne va pas rester bien longtemps à ce niveau. Selon Byron, il pourrait aller bien plus haut — et vous pourriez être en route pour les profits lorsque ce sera le cas...
il y a deux semaines, Ben Bernanke et Hank Paulson se sont présentés devant le Congrès et ont averti que si ce dernier ne leur filait pas 700 milliards de dollars de l’argent des contribuables, et vite, l’économie mondiale tout entière pourrait s’effondrer. Ben Bernanke, ancien directeur du département d’économie à Princeton et désormais à la tête du plus grand cartel bancaire de la planète — la Fed — a dit aux politiciens :
* "Si nous n’agissons pas, nous n’aurons peut-être plus d’économie lundi".
* Bien entendu, cette alarme s’est révélée aussi idiote que toutes ses précédentes déclarations. Lundi est arrivé. L’économie fonctionnait encore. Et le Congrès s’est mis au travail.
* Bernanke & Co. n’ont pas attendu l’inauguration et les poignées de mains. La Constitution américaine ne donne absolument pas l’autorité à la Fed de solliciter chaque contribuable à hauteur de 2 000 $ environ. Mais qui s’en soucie ? La Fed, de sa propre initiative, a commencé à distribuer le cash. Rien que mercredi dernier, 49 milliards de dollars sont allés aux banques. Ce même jour, la Fed a prêté 146 milliards de dollars aux banques d’investissement. Lorsque les gens sont rentrés chez eux pour le week-end, 410 milliards de dollars étaient passés de la Fed à des sociétés privées. L’argent a été prêté, selon un rapport de Bloomberg, à un taux d’intérêt de 2,25% environ. C’est quasiment la moitié du taux d’inflation... et précisément 1,4% de moins que le coût de l’argent du gouvernement, si l’on se base sur les rendements des T-Bonds à 10 ans.
* Il y a deux semaines, Barney Frank a demandé à Bernanke combien d’argent il avait à sa disposition pour ce genre d’opération de sauvetage. 800 milliards de dollars, a répondu Bernanke. La semaine dernière, il prêtait environ 44 milliards de dollars par jour. A ce rythme, il ne reste plus que quelques jours avant que la Fed ne fasse elle-même faillite.
* Voilà qui devrait être intéressant : le jour où la Fed aura besoin d’un sauvetage !
Imaginez vous, retournez à la mi-mars 2000 :
1 Dollar = 1.20 Euros
1 Baril de Pétrole = 60 Dollars
soit le Baril = 1,20 x 60 = 72 Euros et on payait 0,82 Euro le litre de gasoil.
Jusque là, tout va bien,
Allez on retourne dans le présent, à la mi-mars 2008 :
1 Dollar = 0.65 centimes d’Euro
1 Baril de pétrole = 110 Dollars
soit le Baril = 0,65 x 110 = 71,50 Euros
et on paye 1.25 Euros le litre de gasoil....
Le baril (symbole bl ou bbl) est une unité de mesure surtout utilisée de nos jours pour le pétrole brut et ses dérivés. Un baril de pétrole équivaut à 42 gallons américains, soit environ 35 gallons impériaux ou 159 litres.
Donc 71,50€ / 159L = 0,449€ le litre
Vous seriez bien aimable de me dire si je me trompe.
Qui sait....
Je n’ai pas lu tout les commentaires, mais au moins,l’essentiel.
Une fois de plus , on ne peu que constater que les lecteurs d’Agora sont des gauchistes de tout poils,et refuse, comme le dit si bien l’article,tout changements de la part des français.
Moi je le trouve trés bien ce témoignage, il corespond bien à la triste réalité de la France (pays de merde comme disait la marionnette de Jospin dans les guignols de l’info).
Tout le monde veut que sa change, mais quand un gouvernement - élu par le peuple, donc VOUS - propose des réformes, tout le monde descent dans la rue !
Mais puisque que vous etes si malin, et que vous avez la critique facile, presentez vous aux élections et faites nous des propositions de réformes qui tiennent la route !!
Mais bien sur, on vous connait, vous allez finir de couler le pays avec vos conneries, je vous vois venir, vous les grands donneurs de leçons !
Au train ou vont les choses, la France ,sera dans 20 ans le bengladesh de l’europe.
Et la vous pourrez toujours pleurer sur votre triste sort et dire ,comme vous savez si bien le faire, que c’est la faute à Sarko.
Ils y en a encore qui croient, que les gagnants sont arrivés là ou ils sont les mains dans les poches !
Tout le monde doit se battre pour avoir quelque choses, même se qui sont au sommets.
La reussite ne tombe pas du ciel, il faut bosser dur pour y arriver.
Alors, oui, il y en a qui non pas les moyens d’y arriver, (leur couche sociale,leur niveau intelectuel,etc...)et heureusement !! vous imaginez une société ou tout le monde a le pouvoir, l’argent, ?!! mais se serait encore pire qu’aujourd’hui !!.
Celui qui pense qu’il est un perdant, sera toujours au bas de l’echelle, on peu rien faire pour lui.
De tout temps il y a eu des faibles,des pauvres,des asservis.
Ce n’est pas avec les belles idéologies de 68 qu’on va changer tout ça, le mieux est d’aller de l’avant,avec les sacrifices qui s’imposent, et ce n’est pas nos gouvernants qui pourront aller a l’encontre du mouvement,que se soit un Sarko(riche et dominant),une Royale(idéologue et sainte vierge) ou un besancenot(petit facteur qui se fait mousser).
Les humains font partie du regne animal, comme dans toutes société il y a un dominant et les faibles.