Il y a pas mal de choses mélangées dans le commentaire. Je vais pas décortiquer point par point mais je pense que tu apprécierais la lecture de F Bastiat (penseur libéral et ce mot n’est pas synonyme de « capitaliste »).
Sur les faits il reste bien aujourd’hui des barrières à la circulation des personnes et des biens. Il suffit de voir qu’on peut risquer sa vie et payer 1200€ pour traverser la méditerranée, ce qui complètement artificiel ! Avec le bon passeport on peut traverser un continent en toute sécurité pour 300€. (voir l’article de Jean Level sur les migrants).
« comment penseras tu dans dix ans ?? Tu trouveras certainement qu’une petite gueguerre est profitable et utile à la médecine ? ou je ne sais quoi. »
C’est un contresens total ! (ou de la mauvaise foi ??) :’(
Notre système économique actuel (social clientélisme ou capitalisme de connivence) favorise les raisonnement de disette (la guerre pour favoriser la médecine, le protectionisme douanier pour favoriser les produits locaux, la dévaluation pour favoriser les exportations, les frontières pour favoriser la main d’œuvre locale, les licences pour favoriser les producteurs, etc.).
Au contraire, la pensée libérale favorise un état d’esprit d’abondance en aidant le consommateur, la baisse des prix, la liberté de circuler, de produire et d’acheter.
« le credo du libéralisme tendant à rendre les gens interchangeables , corvéable à souhait , esclave non volontaire d’un monde basé sur l’argent sans quoi rien n’est plus possible. »
Non ceci n’est pas le crédo du libéralisme. Le crédo du libéralisme c’est moins d’état, moins de lois vs. plus d’action individuelle, plus de contrats.
Une « commune » ou un projet Open Source ou une mutuelle ou une coopérative etc. peut s’établir librement dans une société libérale.
Si vous êtes une banque et que vous ne prêtez qu’aux riches ou pratiquez des taux usuriers pourquoi ne serais-je pas libre de proposer un meilleur service (concurrent) à vos clients ?
Si je transporte des gens dans mon véhicule et que je conduit dangereusement, pourquoi ne seriez-vous pas libre de proposer à mes clients une alternative ?