Le problème, c’est que vous n’oscillez qu’entre ce que vous voulez démontrer et vous vous contredisez...il n’y a nulle place à l’argumentation et l’objectivité comme dit dans un de mes commentaires vous ne tournez que des vérités vraies en jouant sur la forme justement... tout comme ce que vous critiquez.
Quant à votre critique de l’UMP et de sa course au pouvoir, je me vois obligé de tenter de vous faire sortir de votre rêverie et de vous révéler un secret : les gens du PS, Modem, et cie... partagent exactement les mêmes ambitions, de pouvoir, ils n’ont simplement pas réussi dans leur quête... Eux n’ont pas le droit à vos critiques étonnement !
Pour enfoncer une autre porte ouverte, les gens qui critiquent votre article ne sont pas des membres de l’ump obligatoirement (je n’en suis pas en tout cas), ce sont juste des lecteurs choqués par tant de partialité, tant d’acharnement et tant d’ignorance.
Pour finir, ce qui m’énerve plus que tout est l’allusion au nazisme. C’est la cerise, faute de fournir du contenu et une réflexion, vous tentez de donner une dimension à votre texte...et pas de la plus belle façon !
Ce sont des propos comme les vôtres justement qui aboutissent à ce genre de phénomènes...
Laissez Hitler la où il est, je ne pense pas que cela vous ferais plaisir qu’on vous compare à lui, alors respectez les autres, avant de parler de respect justement.
Pour moi l’illusion de liberté (au sens large, tout comme pour celle d’expression) n’est là qu’à partir du moment ou justement on ne fait qu’en parler. D’ailleurs, entendre toujours parler de liberté serait pour moi la sonnette d’alarme car quand la liberté est acquise, on ne se rend pas compte qu’on en bénéficie, c’est ca qui est paradoxal.
On peut prendre l’exemple des américains, qui ne font que parler de ca justement : freedom dans tous les sens, car justement, ils ne l’ont pas...
Mais on leur fait croire qu’ils l’ont car ils sont dans le pays de la liberté (d’avoir une arme, des avocats, pas de couverture sociale, pas d’aides, de se faire tuer par son voisin, d’être manipulé et considéré comme un mouton etc...).
Je vais essayer d’être objectif, car :
- à la lecture de l’article,
- des commentaires,
- des notes associées aux commentaires allant dans le sens/contre les propos tenus,
- > je trouve que ce débat manque cruellement d’objectivité et n’est qu’un lynchage totalement subjectif.
Je ne passe même pas sur le fait que vous passez votre temps à prôner que du fond et de la forme, seul le fond compte tout en attaquant constamment la forme autour de « sarkozy » plutôt que le fond (ce dont vous êtes sans doute incapable, tout comme moi), quelque peu contradictoire non ?
Pour parler un peu de fond, toujours en étant objectif, peu importe qui est président, les choses changent (en bien ou en mal) parce que les peuples (nous) font des efforts, ce n’est pas une personne, ou dix qui font la différence, que le dirigeant soit de gauche ou de droite, il doit régler :
- les mêmes problèmes,
- avec à peu près les mêmes capacités intellectuelles,
- et surtout avec les mêmes moyens.
Peu importe sa casquette politique, il est donc totalement incapable d’agir si :
- il souffre d’un fort handicap mental (rare quand il est élu),
- le contexte (social/économique, pas de la france, du monde) n’est pas bon (plus fréquent).
Ainsi, un génie très compétent peut n’obtenir aucun résultats quand un incompétent peut lui y parvenir quand le contexte est avec lui...
Ensuite, évitez les allusions à Vichy et au nazisme... c’est un manque de respect pour :
- les vraies victimes de ces régimes (dont vous ne devez pas faire partie pour la plupart),
- sarkozy, car je n’aimerai vraiment pas me faire traiter de fasciste gratuitement...,
- vous, car cela montre malheureusement votre ignorance de l’histoire et vos capacités à raisonner.
Et c’est la le plus grave...
Le nazisme, ce n’est pas un homme qui l’a amené au pouvoir, c’est un contexte (tensions européennes/nationalisme exacerbé/violation de la dignité allemande/crise économique etc...). Eh oui, un contexte la encore ! Et ce n’est pas une personne qui en était la clé de voute...
La meilleure preuve de votre tort ? -> Vos commentaires, vous ne critiqueriez pas sarko en masse si la démocratie était en danger, car vous seriez d’accord avec lui, ou censuré.
Pour finir, à tous ceux qui ont déja posté ici... s’il vous plait réveillez vous, arrêtez de chercher un superman/superwoman pour vous guider et de critiquer quelqu’un gratuitement tout simplement parce que ce n’était pas le vôtre...
C’est un peuple qui fait un pays, pas son président...