Et si on commençait par donner un statut LEGAL aux magistrats ?
En effet, en 2002, Monsieur le Député Thierry MARIANI a saisi Monsieur Dominique PERBEN par Question écrite n° 5097 : Justice ILLEGALE au sens de l’article 6-1 de la Convention de Sauvegarde des Droits de l’Homme.
Par exemple : « C’est la Chambre criminelle de la Cour de cassation qui rappelle périodiquement le caractère général et absolu du secret. » (LE LIVRE DU CAPEDOC Précis d’évaluation du Dommage corporel en Droit commun)
Ce texte a fait suite à la revenvication et l’obtention du droit à l’escroquerie par un président du Conseil national de l’Ordre des médecins lors du Quatrième colloque juridique international de TRIESTE, les 7 & 9 (notez l’impasse du 8, Maître Aydalot n’était pas d’accord) octobre 1965 : « ...et l’on a vu un président de l’Ordre national déclarer que même si le secret devait couvrir une escroquerie ce pouvait être le prix que la société paie pour le maintien d’une règle d’éthique indispensable. »(LE LIVRE DU CAPEDOC Précis d’évaluation du Dommage corporel en Droit commun)
Le SECRET, c’est la dissimulation d’une thérapie qui guérit, car les guérisons sont officieusement interdites, et les survivants sont illégaux (Tampon sur la couverture du livre : « LA SANTE CONFISQUEE » de Monsieur le Professeur Mirko BELJANSKI, persécuté par la justice, à cause de ses remèdes agissant sur l’A.D.N. Son patron lui avait fait dire :" Ne touche pas à l’A.D.N., si tu touches à l’A.D.N. tu n’auras plus rien.
Cette thérapie qui était dissimulée, agit aussi sur l’A.D.N., mais sans aucune substance. Je l’ai réhabilitée, et je l’ai dotée d’une méthode fiable pour cibler exactement la substance contenant la Carte informative génique holistique, analogique au malade.
J’ai eu quelques ennuis, mais je m’en suis bien sorti en soulignant le Devoir de désobéissance de la Force publique face à l’illégalité de la justice, et je continue à exercer pour rattraper mes Treize ans d’incapacité totale NON PENSIONNEE, et surtout le double empoisonnement thérapeutique de ma chère fille :
- 1) Culture IN VIVO d’un atypique astrocytome gémistocytique dans son Corps calleux ;
- 2) Changement d’euthanasie passive en euthanasie active, car une fois de plus, ma file était en train de se tirer d’affaire avec sa Carte informative.
Elle a été médicalysée par haute dose de morphine. La lyse sanguine c’est la décomposition du sang. Nous retrouvons ici le "caractère ABSOLU du secret.
En d’autres termes, ma fille est décédée avec la complicité de la Chambre criminelle (elle l’est) de la Cour de cassation.
J’ai une pensée émue aussi pour Stéphane et Laurent GAUDIN.
Ce n’était pas sur le SIDA qu’il fallait plaider, mais sur leur passage à l’hémophilie, puisque la maman n’est pas porteuse de cette tare.
Une personne à évoqué le mot :« contraire », elle est dans le mille.
En bonne balance, Monsieur le Procureur Jean DUPUIS a clamé le 11 février 1987 en pleine audience : « OUI LA JUSTICE EST POURRIE MAIS MALHEUREUSEMENT C’EST TOUT LE SYSTEME QUI EST POURRI. »