Je n’ai pas lu tout l’article mais en entrée, vous auriez pu mettre le slogan initial et pas une interpétation. Ca fragilise tout le reste. Bien que je me tienne assez bien informé (mais visiblement pas sur la même presse écrite ni sur les mêmes blogs, télé je fais pas), je n’avais pas eu vent de cette histoire. J’ai tapé "publicité ucar" et la première occurence google est un organe de presse que je n’aime pas du tout : "20 minutes". Je vais donc sur le site.
Là, j’ai eu le slogan en vrai, pas interprété (ce qui en dit long sur votre rigueur) mais le slogan comme fait de départ pour une analyse ultérieure. Alors je le mets, en majuscule sur 4 lignes :
Le slogan UCAR n’est pas "les pauvres puent" mais (cf. le titre du post) :
LES PAUVRES SONT DEGUEULASSES, ILS POLLUENT
Puis dessous en plus petit sur une ligne : "le droit à la voiture propre pour tous". Malheureusement je ne peux communiquer le visuel du slogan qui est évidemment très important.
Bon, aprés, pour le reste... n’étant pas riche mais étant le riche propriétaire d’une fiat de 1995....
Cet article confirme mes pensées actuelles quant à Agoravox. Articles + commentaires + les petits trucs qui font que tout ceci est très lisible : l’avenir de la presse , heu non, de l’information telle qu’on peut la rêver.
C’est terrible à dire mais réjouissant. Une bonne nouvelle, c’est toujours réjouissant.
Je crois avoir tout vu de JC Brisseau. Cinéaste que j’aime beaucoup. Mais là, je trouve son dernier opus pas trés intéressant, très cérébrale (je n’en peux plus du monocérébralisme), un film très français 90-2000 ciné de marge institué (où bcp s’y retrouve, la marge est la norme pour les films en dehors des films industriels cités dans l’article), et la direction de jeu est très mauvaise. Encore un discours sur le sexe. Encore qu’un discours sur le sexe. Il ne fait pas, il en parle, encore un. Marre de cela, et la sensualité, le désir, tout ça tout ça, des trucs moins traumas. Chercher le trouble, le trouble émotif, pas cérébral. Et les comédiennes ne sont pas bonnes du tout, même si elle sont jolies. Brisseau est très très très parisien. Aussi, l’appellation "artiste maudit" me fait grimper aux rideaux. + la mise en reflet de la polémique autour de sa manière ou pas de caster les comédiennes.... C’est un film onanistique. Je n’aime pas trop que quelqu’un se touche devant moi sans que j’y éprouve du plaisir.
Mais j’irai voir le prochain, car c’est un artiste -à défaut d’être maudit- à suivre.