Je suis heureux, M. Pascaud, que vous vous réduisiez tout cela à une critique d’humeur en me demandant de passer mon chemin : voilà une attitude ouverte qui vous fait honneur.
Et puis je suis soulagé de voir que vous ne remettez pas en cause le caractère ridicule du happening organisé par M. Alexandrian, c’est déjà ça (même s’il doit y avoir là-dessous des raisons-supérieures et inconnues, ça va sans dire).
Que dire de plus ? Ah oui : le Surréalisme est toujours beau, il n’y a même d’ailleurs que le Surréalisme qui soit beau.
Maintenant veuillez m’excuser, je dois aller lire un ouvrage de Jean Clair.