Article intéressant, mais qui remplace en fait un certain manichéisme par le manichéisme inverse. La barbarie ne se situe pas seulement au niveau des états, quels qu’ils
soient, dont la préservation serait le bien absolu (! ?) ; on la
rencontre chaque jour non seulement au niveau des pratiques internes de
certains états (lois iniques, peine de mort, etc...) mais aussi au
niveau des relations entre groupes (ethniques, religieux ou autres) et
mêmes aux relations entre individus. La
barbarie se trouve en germe en chacun de nous. Certains en ont
conscience et parviennent à la maîtriser. D’autres non, d’où le racisme,
la xénophobie, le sexisme, l’homophobie, l’antisémitisme, l’islamophobie, l’intégrisme (religieux ou autre), etc...
Si, l’anglais EST un problème, c’est celui de la pensée unique. Une langue n’est pas neutre, on s’en aperçoit tous les jours, et singulièrement s’agissant de l’Europe. C’est l’anglais, qu’on le veuille ou non, qui contribue à imposer à l’Union européenne ce libéralisme effréné qui la mène dans le mur. C’est l’anglais qui risque de mener l’Union européenne à se faire hara-kiri avec ce Traité de libre échange dont on nous menace. L’anglais, qui s’insinue partout, est une menace grave. Il serait temps de s’en apercevoir et de réagir.
Lolotte vous avez écrit exactement ce que je voulais écrire ! Ce qui m’effraie, c’est la lepénisation accélérée de la « pensée » (?) politique dans notre pays, à droite, mais aussi à gauche. J’en ai froid dans le dos. Et croyez bien que je ne suis pas du tout un gauchiste. Quant à l’intervention du chef de l’État, elle est tout simplement minable.
Oui Lolotte, vous avez écrit exactement ce qu’il fallait écrire. C’est très profondément ce que je pense. Et je ne suis pas du tout un gauchiste ! Ce qui m’effraie, c’est la lepénisation accélérée de la « pensée » (! ?) politique dans notre pays. J’en ai froid dans le dos. Quant à l’intervention du chef de l’Etat, elle est tout simplement minable... Bonne nouvelle, on ne pourra plus arrêter des enfants scolarisés... dans le cadre des activités scolaires. Mais bien sûr, on pourra les arrêter dans le train, à l’épicerie, chez le coiffeur, et même aux chiottes...