Belles réflexions sur une situation actuelle menée par des gens d’autrefois. Depuis 50 ans la politique eût du évoluer, elle ne l’a pas fait.
Avait-elle les moyens de devenir plus gestionnaire pour le bien de tous ? Nous devrions aujourd’hui pouvoir dire oui et c’est un non que nous avons trouvé dans les urnes.
La seule raison de mener la politique aujourd’hui c’est de faire de l’argent avec le nombre d’électeurs annoncé. Il est temps d’amener toute les bonnes idées à la table de la République, que toutes et tous soient représentés.
Les structures politiques actuelles n’ont de finalités que le désordre et la haine, le bien des français n’est plus pris en compte, je n’ai pas dit en charge.
Depuis deux ans je vote par internet, j’ai confiance. Il y a encore le choix de voter par courrier.
Ici dans mon Canton nous n’ouvrons le bureau de vote que deux heures le dimanche matin (environ encore une vingtaine de personnes choisissent cette formule, sur 3000 électeurs.
C’est le vote par correspondance qui remporte la palme de l’acte civique, l’enveloppe pouvant être déposée dans la boite communale, dans une urne à l’administration ou par service postale.
Une centaine, comme moi, votons via internet. Code et recode, comme un site bancaire. Cela fonctionne bien.
> Les allocations doivent-elles être versées directement aux allocaires ?
par ploucminus (IP:xxx.x96.30.40) le 10 mai 2007 à 13H12
Ajout (effet de seuil)
L’article proposé ouvre un débat intéressant qui est aussi abordé dans les partis de gauche (du moins à l’étranger), parce qu’il parle du droit d’aubaine et d’une éventuelle future fiscalisation des aides à cause des effets de seuil qu’engendre le système « d’arrosoir » sur une population donnée.
Les aides ont été mises en place à des moments historiques différents, pour des raisons précises et elles se sont accumulées sans remises en perspectives du moment. Si on part de la conservation des acquis nous nous retrouvons dans une situation, où suivant la porte d’entrée prise pour obtenir une aide celle-ci va engendrée d’autres droits automatiques (aubaine) qui a revenu égal feront que la personne autonome financièrement sera pénalisée fiscalement et que la personne pouvant obtenir un petit revenu + les aides sera « plus riche » ou aura plus de disponibilités (effet de seuil).
La problèmatique ne parle pas de l’aspect psychologiqe de la personne en difficulté.
La première difficulté de gérer ce système est son appartenance décisionnelle à plusieurs ministères et à plusieurs administrations qui ont tout intérêt à se protèger d’une perte de leur rôle dans la société.
La deuxième est d’avoir une vue globale du système d’aide, nationale, régionale et locale et nous sommes là devant un gros travail de réflexions, mais une source d’égalité, de baisse de coûts et de solidarité passe par ces réflexions.
L’article proposé ouvre un débat intéressant qui est aussi abordé dans les partis de gauche (du moins à l’étranger), parce qu’il parle du droit d’aubaine et d’une éventuelle future fiscalisation des aides à cause des effets de seuil qu’engendre le système « d’arrosoir » sur une population donnée.
Les aides ont été mises en place à des moments historiques différents, pour des raisons précises et elles se sont accumulées sans remises en perspectives du moment.
Si on part de la conservation des acquis nous nous retrouvons dans une situation, où suivant la porte d’entrée prise pour obtenir une aide celle-ci va engendrée d’autres droits automatiques (aubaine) qui a revenu égal feront que la personne autonome financièrement sera pénalisée fiscalement et que la personne pouvant obtenir un petit revenu + les aides sera « plus riche » ou aura plus de disponibilités.
La problèmatique ne parle pas de l’aspect psychologiqe de la personne en difficulté.
La première difficulté de gérer ce système est son appartenance décisionnelle à plusieurs ministères et à plusieurs administrations qui ont tout intérêt à se protèger d’une perte de leur rôle dans la société.
La deuxième est d’avoir une vue globale du système d’aide, nationale, régionale et locale et nous sommes là devant un gros travail de réflexions, mais une source d’égalité, de baisse de coûts et de solidarité passe par ces réflexions.