Luc Ferry a bien fait de porter le pet. Il sera difficile désormais de noyer le poisson avec une enquête molle diligentée par un procureur sans passer par un magistrat indépendant (ce n’est pas en France que l’on verrait pareilles choses, mais on ne sait jamais). Et ce n’est pas à la presse que Luc Ferry donnera des noms, il n’est pas fou ! C’est maintenant à la justice marocaine et française de faire leur travail.
Alors, qui faut-il punir ? Celui par qui le scandale arrive ou les prédateurs qui laissent des enfants physiquement et psychologiquement esquintés pour la vie ?
Eh oui, le tourisme pédo-sexuel dans des pays exotiques devient de plus en plus ringard. Il y a sur notre planète des choses qui évoluent dans le bon sens...
Elie ZARAYA est un informaticien, écrivain, poète et philosophe.
Vous êtes tous des ignares. Ce n’est pas l’informaticien ni l’écrivain qui a produit cet article, c’est le poète.
Pour la philosophie, Elie a écrit un autre papier sur les agrandisseurs de péniches (mais si Roger, tu es normal), fondé sur les travaux du professeur espagnol Pedro Sanfalzar Bandalez.
Bonne lecture, et ne venez plus raconter que la prose d’Elie est sans queue ni tête !
Il y a de cela quinze ans j’ai épousé une Suissesse. J’ai eu cinq enfants avec elle.
Au début, tout allait bien. Elle s’occupait bien des enfants, les emmenait à l’école en partant au travail, revenait le midi pour me faire la cuisine et au retour elle me servait les bières quand je regardais le foot à la télé, puis me préparait le repas du soir.
Puis, progressivement, les choses se sont dégradées. Elle ne préparait plus le petit déjeuner avant de partir, le ménage n’était pas toujours bien fait, les ampoulles grillées c’est moi qui devais les changer.
Au bout de dix ans, pour une vétille (une ecchymose parce qu’elle n’avait pas ciré mes souliers) elle est repartie dans son pays avec les enfants, la Porsche Cayenne et la double nationalité. Maintenant je n’ai même plus les allocations familiales pour survivre.
Alors ras le bol des mariages gris. Non mais sans blague.