les intentions du rédacteur de l’article sont louables, mais négligeant la dimension stratégique inhérente à « tout » discours politique - pcq bon grè mal gré Ségolène Royal c’est imposée comme une figure politique « concrète » de notre république démocratique - il cède à la logique du racourci. Le propos politique n’a jamais été affaire de premier degré. Se livrer à une analyse d’un propos politique s’en en élargir le spectre didactique (quel est la finalité du propos ?. Autrement dit en cédant à la redondance de citations et à un traitement anecdotique, me parait une démarche vide de sens. On peut tout à fait discuter les enjeux de la démarche de S. R, encore faut-il ne pas les réduire à la portion congrue.