Parler pour ou contre des vaccins, soulève toujours des débats houleux et l’oppobre (quand non la mise à l’index) de l’établishment médical.
Il faut d’abord rappeler que la théorie pasteurienne est un des piliers du paradigme médical actuel et que la remettre en question revient à questionner un des fondements doctrinaux de la médecine allopathique. « un microbe, une maladie » et donc, ses outils thérapeutiques.
Il faut ensuite rappeler que la iatrogénie des médicaments est un fait expérimentalement et massivement prouvé : sur les patients eux-mêmes. Ces résultats in vivo viennent non seulement confirmer - voire aggraver - mais aussi (souvent) contredire les promesses et les prévisions artificielles et alléchantes faites in vitro en laboratoire sur du matériel « vivant » fragmentaire fort éloigné de la réalité physiologique (et de son mystère) de nos organismes.
PREMIERE QUESTION
Si l’on admet cette iatrogénie pour les autres médicaments chimiques ou non, y compris substances alimentaires, pourquoi la nie-t-on avec tant d’entêtement en ce qui concerne les vaccins ?
Cohérence scientifique à géométrie variable ?
Dans les effets postvaccinaux, il faut distinguer :
- les effets à court terme, dus aux adjuvants et
- les effets à long terme (inclus mutagènes des virus atténués) dus à la charge microbienne des vaccins.
Mais bien peu de personnes savent comment est fabriqué un vaccin ! Ou comment fonctionne un microbe ou notre système immunologique et notre physiologie en générale...
Donc parler des vaccins n’est pas seulement une question d’opinions pour ou contre basés sur des « on dit » ou des polémiques ou des faits historiques...
De nombreuses études - indépendantes ou non - existent qui démontrent que les vaccins ne sont pas aussi dénués d’effets secondaires, que ce que l’on nous raconte et veut nous faire croire.
Mais soit elles sont éparpillées et noyées dans la masse, soit quand elles font trop de bruit, systématiquement niées ou écartéss (cas de l’autisme/vaccins). L’Honnêteté intellectuelle est malheureusement aussi à géométrie variable selon les intérêts du paradigme médical et les intérêts économiques et financiers du moment.
Plus facile de nier que de chercher une réponse à un probléme donné. L’histoire de la médecine est bourrée « d’anecdotes » mañheureuses, fruits de cette attitude dogmatique.
EXEMPLE
Il existe de nombreuses études (et pas seulement US) sur la relation existant entre les vaccins et « l’usure prématurée de notre système immunologique » du au fait que les vaccins sollicitent des défenses que nous n’avons pas... car si nous naissons entiers, nous naissons « non protégés - en tout cas. partiellement » et « physiologiquement immatures ».
En outre les vaccins créent des situations qui n’existent pas dans la Nature : plusieurs maladies infectieuses dans la même seringue avec une charge microbienne supérieure à celle à laquelle nous serions confrontés si nous « l’attrapions » naturellement...
Que vous dirait votre bon sens si demain on vous proposait dans la même seringue un cocktail vaccinal vous « immunisant » soi disant contre plusieurs maladies à la fois (et pas seulement 3 ou 4, sinon beaucoup plus). Ce graal vaccinal est à l’étude...
AUTRE FAIT : la réémergence de maladies soi-disant erradiqués... On ne peut pas tout mettre sur le dos de la mondialisation et des voyages (argument partial et sectaire)... ni sur la drogoréristance des microbes...
La maladie est un marché, les vaccins également. Il ne faut pas non plus effacer cer aspect de la réalité.
POUR MEMOIRE
GkaxoSmithKline boosté par le marché des vaccins
En annonçant les résultats 2005 de son groupe hier à Londres, le patron de Glaxo SmithKline, Jean-Pierre Garnier, avait presque le sourire. Grâce à un excellent quatrième trimestre, le leader britannique a terminé l’année avec un chiffre d’affaires de 31,5 milliards d’euros, en croissance de 8% par rapport à l’année précédente, soit une une hausse de 19% de son profit opérationnel et une progression de 8% de son chiffre d’affaires. Les vaccins ont servi de locomotive.
« 2005 est pour nous l’année des vaccins », a souligné hier Jean-Pierre Garnier : les ventes de cette activité ont bondi de 15% l’an passé, pour atteindre 1,4 milliard de livres. En 2005, GSK a procédé à trois acquisitions (Corixa, Marietta et ID Biomedical) qui confirment son intérêt pour cette activité dominée par le français Sanofi-Aventis. La production industrielle du vaccin contre le virus de la grippe aviaire H5N1 devrait démarrer avant la fin de l’année et la firme se déclare prête à céder la fabrication sous licence de ce vaccin à d’autres producteurs, si une pandémie aviaire mondiale se déclarait.. « Les vaccins et l’oncologie sont des axes de développement majeurs », a indiqué Jean-Pierre Garnier. Le portefeuille du groupe comprend actuellement 111 nouvelles molécules, dont 16 en phase 3, c’est-à-dire proches de la commercialisation.