Dans ce combat politique interminable depuis une petite vaingtaine d’années avec les associations qu luttent contre cette prohibition, voici les principales raisons de l’escalade répressive que nous connaissons depuis plus de 15 ans...
La première raison, tient d’un embargo des industriels du textile synthétique (nylon) qui procéda à l’élimination de ce concurrent qui tient la plupart des domaines, comme le papier, la corde et le textile.
Afin de garantir la pérennité de cet embargo, un sénateur américain fit rédiger un traité d’abord nations (à tous les Américains), puis par le biais de propagande sur la drogue, porta son texte à l’ONU que les nation dont la notre à ratifiée en 1961.
En 1970 la jeunesse Occidentale s’émancipe de principes liberticides et font libre usage des drogues et des meurs sexuelles, Richard Nixon arrive au pouvoir porté par une classe puritaine qui déclare la guerre à la drogue par la crainte nourrie d’une jeunesse incontrôlable. C’est évidement une initiative utopiste, qui tentera d’imposer une société sans drogues, qui n’existera pas, comme nul ne peut en douter.,
En France, c’est le gouvernement de Chaban-Delmas qui promulgue la loi de du 31 Décembre 1970 contre l’héroïne initialement (et toutes les drogues). Mais la France est l’inventeur des droits de l’homme, et sa constitution ne permet pas de condamner un citoyen qui ne cause de tors à personne ! Pour parvenir à catte criminalisation d’un inocent, le législateur Français va revoyer le citoyen vers la législation internationale (Américaine) qui détient le tableau des stupéfiants ( liste des produits illicites), via l’Article 53 de la constitution (inaccessible au citoyen Français) et un arsenal juridique du code pénal, puis de la santé publique et dernièrement du code de la route, étayées par une habile argumentation de dangerosité sur la santé, par voie de propagande nationale hautement médiatisée..
Après de nombreuse manifestations sans le moindre résultat, les association Françaises, décident en 2012 (suite aux présidentielles) de déclarer des Cannabis Social Clubs pour remplacer le trafic et ses produits frelatés, par un échange de produits sain au sein d’associations réglementées. Manuel Valls, ministre de l’intérieur du gouvernement Hollande, rejette cette initiative et demande la dissolution des associations les renvoyant ainsi vers le trafiquant et la persécution judiciaire.
Mais, deux informations cruciales vont immédiatement nous donner le ton, et révéler d’autres raisons aux causes philosophique d’une toute autre nature...
En 2000 une personne proche d’un sénateur (qui restera anonyme) nous confie qu’une partie des fiances de la campagne électorale de son boss provient d’un blanchiment de trafic de citées (plusieurs) et que le gain est pratiquement 2 fois le montant investi, mieux qu’un paradis fiscal.. Il nous assure que c’est c’est monnaie courante et qu’aucun département n’y échappe.
Puis, l’année suivante, un correspondant nous fait parvenir la traduction en Français du résumé d’un brevet Américain déposé en 1999 sur le Cannabis expliquant que ce dernier détruit les tumeurs et les cancers, soigne plusieurs pathologies lourdes et est totalement inoffensif... Puis vien s’ajouter une étude scientifique de l’université du Colorado attestant les mêmes qualités en y ajoutant la faculté de protéger les cellules permettant une durabilité de vie accrue...
Nous avons donc les preuves que le Cannabis est inoffensif et curatif, que des laboratoires en ont déposés le brevet en 1999 et qu’il sont Américains. Hors, le gouvernement de MR Sarkozy, nous a fait 10 ans de propagande sur les dangers du Cannabis, il a fait voter des lois répressives contre les citoyens, procédé à de la discrimination, puis organisé une répression publique avec condamnations systématiques et arbitraires que payent des citoyens dont personne ne porte plainte, en dehors de l’état (par l’intermédiaire d’un traité de 61) qui prends de l’argent (au citoyen) et des biens (aux dealers) sur le mensonge publique que condamne le code pénal (article 411).
Pour conclure, afin d’asseoir les preuves de cette étude factuelle, notre ministre de la santé Marissol Touraine, à rédigée un décret ministériel, autorisant l’usage d’un médicament (pas la plante) à base de Cannabis ( Sativex) pour le laboratoire qui le vends, sachant que son prix est supérieur à la plante interdite, portant largement plus efficace. Cela simplement pour ne pas légaliser, ni dépénaliser, ni changer es textes de lois arbitraires, un décret n’est qu’une petite exception !
C’est la pire des bassesses contre le bon sens et cette initiative scélérate, démontre bien que la santé publique ne tient à rien d’autre qu’aux brevets pharmaceutiques (preuve des 50 mille morts par an avec l’alcool qui est légal), mais le plus grave, c’est le mensonge public organisé pour réprimer des innocents ciblés (jeunes issus de l’immigration) et prélever de l’argent illégalement (si le produit est illégal, le taxer l’est aussi).
En clair c’est une escroquerie très lucrative pour une poignée d’élus, et elle est rondement menée avec le soutient d’une opinion publique trompée pour cautionner cette prohibition.., Conclusion, pour légaliser le cannabis en France, il faudrait, soit une révolution populaire suite à un drame ou règlement de compte déclencheur, soit une action publique en justice pour faire le procès de cette escroquerie, faire condamner les responsables (il y en a une vingtaine) et exiger le remboursement des milliards volés aux Français par ce mensonge... Alors, le gouvernement sera obligé d’abroger ces lois scélérates, et concéder ce droit naturel que les Français n’auraient jamais du perdre, la liberté de disposer de sa santé et son bien être.
Pourquoi ? - Parce que la marchandisation de la route (vinci, bouygues, etc), et son influence sur les services d’états (presse, police, justice) sont orchestrés par un groupe de milliardaires que nous engraissons généreusement.
Alors que chaque loi (achetée) qui tombe avec son arsenal répressif est soutenu par une majorité de Français, et des associations (financées par les mêmes profiteurs), nos bienveillants élus n’ont aucune raison de ne pas profiter ce cette savoureuse escroquerie, si bien accueillie d’un public au silence consenti.
Car nul citoyen ne saisit la justice ou le conseil d’état pour faire valoir les textes de la constitution Française et du code pénal selon lesquels, nul ne peut être l’objet d’une condamnation arbitraire, or dans la répression routière, les lois qui se veulent préventives condamnent un citoyen pour un délit supposé (au risque que) et non à un délit factuel (causer un accident).
Ainsi la plupart de ces lois violent allègrement les droits fondamentaux et la souveraineté du citoyen, en l’accusant d’un acte présupposé mais inexistant au moment de son interpellation.
Il appartient donc aux citoyens de se constituer partie civile et saisir le conseil d’état afin de dénoncer des lois arbitraires de nature à prélever de l’argent au citoyen sur un fait non commis. Comme de procéder une inégalité et à la persécution (radars) d’une communauté (automobilistes) qui sont des pratiques interdites par la constitution.
En conséquence, l’automobiliste peut également saisir son devoir citoyen (également dans la constitution) de lutter contre la persécution et l’inégalité (automobilistes plus justiciables que d’autres) en s’opposant à tout condamnation de cette nature avec avis au préfet ou aux ministères concernés.
J’avais déjà proposé cette disposition juridique auprès d’associations et de personnes inquiétées par cette démesure.
D’aucune appartenance politique, j’ai retracé l’histoire de la grande « envie » soudaine de fédéraliser (comme en outre atlantique) tous les états d’Europe...
Mais fort de décevoir les tribunes de clivages aux noms d’oiseaux ne permettant pas d’éclaircir cet empressement à faire l’Europe et surtout celui du pacte transatlantique, que la plupart des pays comme le notre, considèrent comme le cheval de Troye à une dictature (à distance) que l’Europe sera en charge d’appliquer. Une fois que tous les services fondateurs (européens) seront prêts (loi de programmation militaire, lois environnementales, les services europol, gendfor et autres milices secrètes) tous les états seront « intégrés » d’office.
La résistance actuelle ne fera que gagner du temps, car le problème est ailleurs, et ceux qui rembarrent la fameuse « théorie du complot » se divisent entre naïfs et v.i.p. impliqués dans la grande conquête commencée il y a 1 siècle.
Alors mon analyse (qui ne tient qu’à des éléments factuels) retombe sur celle de cet analyste spécialisé en géopolitique qui dépeint exactement le même constat (c’est l’histoire) :
Ainsi, il est plus facile de comprendre ce qui est en train de se passer, et pourquoi les peuples pré-sentent que cette état fédéral est déjà installé, mais n’attendent plus que notre approbation... Pour le moment, mais la patience à des limites et la cupidité n’en a pas.
Un bel article, mais quelques précisions, le Hashich (évoqué dans l’article) n’est pas une plante hallucinogène, mais un euphorisant. Et puis les drogues étaient utilisées avant l’existence de l’Islam, il y a plus de 20 mille ans (renseignez-vous auprès d’un anthropologue).
La France qui à signé cette escroquerie avec les Américains en 1961, s’est mise dans un engrenage mafieux et s’enlise dans une prohibition criminogène, qui ruine son économie dans la corruption et les blanchiments à épisodes.
Les Français le savent, face à ce comportement politique mafieux, ils préfèrent ne pas « participer », et auto produisent les « drogues » dont ils font un usage clandestin très avisé. La prohibition des drogues à provoqué une brèche culturelle parallèle, et les Français sont devenus aujourd’hui de vrais spécialistes en psychotropes (plantes, champignons, insectes, etc..), en moins de 20 ans (si tel était le but, c’est Bingo !).
La mascarade politique anti-drogue nous laissera toujours indifférents, et en dehors d’assister d’un regard amusé à la décadence de notre nation rackettée, on ne voit pas ce que l’on pourrait faire de plus, à part subir et payer la mafia..