Le président et fondateur de l’ACF, Arthur Schneier, explique dans un communiqué que “Nicolas Sarkozy a fait preuve de détermination et persévérance dès qu’il est apparu dans l’arène internationale où il s’est attaqué aux défis politiques, sociaux et humanitaires d’aujourd’hui.
(…)Il s’est fait le champion des droits de l’Homme, de la démocratie et de la tolérance. C’est un homme d’Etat de stature mondiale“.
L a Fondation Elie Wiesel pour l’Humanité va donc récompenser Nicolas Sarkozy avec le “The Humanitarian Award”.
Ce prix récompense “des êtres exceptionnels qui ont consacré leur vie à combattre l’indifférence, l’intolérance et l’injustice”.
La Fondation Elie Wiesel a annoncé qu’il décernerait à Nicolas Sarkozy un prix spécial en reconnaissance pour son action humanitaire dans divers domaines, particulièrement dans les conflits internationaux et dans la mobilisation de millions de dollars pour l’Afghanistan et les pays africains. Ce prix lui sera remis le 22 septembre prochain à New York.
Nicolas Sarkozy est un homme providentiel pour la France
Son génie, sa clairvoyance ne sont pas encore reconnus par une partie des français qui ont du mal à déchausser leurs lunettes noires du socialo-gaullisme qui les a plongé durablement dans l’obscurité. Mais dans les grandes capitales du monde l’on a su discerner ses immenses qualités, et s’il se voit décerner le 23 Septembre le prix de l’’homme d’Etat 2008" c’est bien en tant que champion des droits de l’Homme, de la démocratie et de la tolérance, n’en déplaise aux derniers nostalgiques de l’obscurantisme socialo-gaulliste.
C’est un homme qui transforme notre regard sur le monde, qui nous fait partager sa vision éclairée des enjeux du 21ème siècle.
Son engagement déterminé à combattre la barbarie, l’obscurantisme et le terrorisme font de lui non seulement l’homme d’Etat 2008 mais d’ores et déjà l’un des hommes d’Etat du XXIème siècle qui resteront dans l’histoire.
Son premier mandat est un combat, la rupture d’avec le socialo-gaullisme obscurantiste ne coulant pas de source pour une partie de ses concitoyens, mais à l’issue de son deuxième mandat ce seront des "Nicolas, restez pour nous guider" que les français crieront, larmes aux yeux.