Madame Angot ne dit pas, elle vomit, elle éructe, elle gueule, vocifère, hurle, et finalement privatise une problématique sociétale, la résume à ses souffrances personnelles entrainant l’autre dans un infernal triangle de Karpman. Elle en a d’ailleurs fait son fond de commerce, non ?
Le fond de son discours, pour le coup inaudible, tient en 5 mn dans un débat public réunissant victimes, juristes, psychiatres et décideurs politiques qui expliciteraient le problème et proposeraient des solutions envisageables. Voilà le rôle d’un service public ! Aujourd’hui en France, un homme marié et père de 2 enfants dont un de 9 peut abuser sexuellement une gamine de 11 ans sans être jugé pour viol !
La place de Ruquier et sa bande de malsains est sur C8 avec Hanouna !
Sonia Nour un pur produit schizoïdo-victimaire de la nouvelle civilisation
Faire l’apologie d’un acte barbare au nom d’une religion patriarcale et en même temps dénoncer le patriarcat systémique au nom de la propagande LGBTQ dans une même phrase ! Mais que fait Fourest ?
Merci pour vos réponses.Concernant les « éclopés du deuil » plus que le buzz et ses aspects marketing, mon questionnement portait sur le sens de mettre en avant des gens sans talents qui distillent une violence destructrice.
L’appauvrissement de notre langage et la technique conduisent à la perte d’individuation psychique et collective tout autant que la théorie du genre et la destruction organisée des rapports homme/femme, parents/enfants, jeunes/vieux...
La disqualification paradoxale, c’est exactement le procédé utilisé par Angot sur Sandrine Rousseau.
Quand aux groupes cibles, spectateurs passifs en arrière plan d’écran, je pense qu’ils perçoivent les leaders d’opinion comme des repères structurels, des exemples à mimer. Il suffit de contrôler ces leaders pour contrôler les masses.