Soit vous ne savez pas lire, soit vous êtes ignoble....
"1 milliard de personnes souffrent de la faim, 1 milliard de personnes manquent d’un accès raisonnable à l’eau potable et 2,6 milliards de personnes, soit 75 % de la population mondiale, n’ont toujours pas accès à l’eau, à la nourriture et aux services d’assainissement de base"
C’est ce dont il est question. La faim, la misère ! Tout simplement cela. Des êtres humains qui ne mangent pas à leur faim.
Franchement vos allusions à la religion m’échappent. Un peu d’humanité s’il vous plaît. Allez vomir ailleurs !
"Qui est là
toujours là dans la ville
et qui pourtant sans cesse arrive
et qui pourtant sans cesse s’en va
C’est un fleuve répond un enfant
un devineur de devinettes.
Et puis l’oeil brillant il ajoute
et le fleuve s’appelle la Seine
quand la ville s’appelle Paris
et la Seine c’est comme une personne
des fois elle court elle va très vite
elle presse le pas quand tombe le soir
des fois au printemps elle s’arrête et
vous regarde comme un miroir.
Et elle pleure si vous pleurez
ou sourit pour vous consoler
et toujours elle éclate de rire
quand arrive le soleil d’été... "
Prévert et la Seine qui coule sous le pont Mirabeau à Paris qui est sur la terre, la terre qui est un astre...
Et pour le soutien religieux, je propose une petite prière :
"Notre Père qui êtes aux cieux
Restez-y
Et nous nous resterons sur la terrre
Qui est quelquefois si jolie
Avec ses mystères de New York
Et puis ses mystères de Paris
Qui valent bien celui de la Trinité
Avec son petit canal de l’Ourcq
Sa grande muraille de Chine
Sa rivière de Morlaix
Ses bêtises de Cambrai
Avec son Océan Pacifique
Et ses deux bassins aux Tuilleries
Avec ses bons enfants et ses mauvais sujets
Avec toutes les merveilles du monde
Qui sont là
Simplement sur la terre
Offertes à tout le monde
Éparpillées
Émerveillées elles-même d’être de telles merveilles
Et qui n’osent se l’avouer
Comme une jolie fille nue qui n’ose se montrer
Avec les épouvantables malheurs du monde
Qui sont légion
Avec leurs légionnaires
Aves leur tortionnaires
Avec les maîtres de ce monde
Les maîtres avec leurs prêtres leurs traîtres et leurs reîtres
Avec les saisons
Avec les années
Avec les jolies filles et avec les vieux cons
Avec la paille de la misère pourrissant dans l’acier des canons."