Ce n’est pas l’agriculture conventionnelle qui est forcément visée ici, mais bien l’agrochimie. En fait nous sommes tous collectivement responsables de cette situation car nous voulons du prêt à porter, du prêt à manger, du prêt à penser... Nous protégeons nos revenus. Au diable les dommages collatéraux.
Le jour où la nature n’en pourra plus nous deviendrons tous des collatéraux.