Je suis le concepteur du site 'Détail des Religions'. Un site qui se propose de faire la revue exhaustive de toutes les religions et de présenter un arbre généalogique de cette histoire.
@Gérard Dahan Je ne vois pas ce qui vous permet de conclure que je n’aurais pas compris le premier opus. C’est ce qui différencie le premier du second opus. Deckard va vivre une vraie histoire d’amour. Cette histoire d’amour, le fruit de cette histoire d’amour, devient l’enjeu mythique de 2049. Elle se continue dans ce film mais elle reste justement inaccessible pour K, qui rêve un instant que ce serait lui, la continuation. C’est pourquoi j’ai employé le terme de « celeste », elle est en marge, au dessus de K, qui doit se contenter d’une petite amies très conformes et qui se retrouve aux prises avec des filles aux typologie connues.
@pallas Apparemment, il s’agit d’un commentaire plutôt sarcastique, où l’auteur s’attache au détails de cohérence et de réalisme du scénario. Ce n’est pas l’état d’esprit dans lequel je vais voir un film de SF, genre qui tiendra toujours plus du conte. Par ailleurs je pense qu’un tel crible rend irregardable la quasi totalité du répertoire hollywoodien.
@charlie Le droit de vote n’est pas exactement le moyen par lequel je me sent libre. Vous croyez que la sexualité a été inventée au XXe siècle ? intéressez vous au XVIIIe. Comme ça n’a pas posé de problème aux générations précédentes d’être gouvernées par des reines, et que la reine est la plus haute figure de l’autorité, vous devriez vous poser des questions sur la perception de la femme dans l’ancien temps.
@charlie Au contraire, je suis profondément choqué par l’emploi que l’on fait de la femme nue pour vendre tout en n’importe quoi dans toutes nos rues. Le corps de la femme sert à vendre des voitures et des yaourts. Dans tout ce que j’ai pu voir au musée du Louvre, dans tous ces siècles de cultures, je n’ai pas vu de représentation plus dégradante de la femme. Et vous appelez ça un succès, une libération ? Est-ce que les femmes de Botticeli ont l’air opprimées ? On sort pourtant tout juste de ce qu’il est convenu d’appeler le moyen-âge. Lorsque les siècles futurs regarderont ce que nous avons fait de la femme, que croyez-vous qu’ils penseront de nous ?