Rédaction | Depuis | Articles publiés | Commentaires postés | Commentaires reçus |
---|---|---|---|---|
L'inscription | 0 | 35 | 0 | |
1 mois | 0 | 0 | 0 | |
5 jours | 0 | 0 | 0 |
LES LANCEURS D’ALERTE NE PEUVENT PLUS ETRE ENTENDUS !
Dans un ouvrage important : « Vaccination, violence sociale et criminalité- l’agression médicale du cerveau des américains », l’historien de la médecine Harris L. COULTER écrit p.260-262. :
(...) La catastrophe que représentent véritablement les vaccinations enfantines(1) est à attribuer avant tout à l’orgueil démesuré de la profession médicale- à la volonté du médecin ( souvent avec les meilleures intentions du monde !) de contrôler les forces de la nature en les pliant à sa volonté. La conséquence inéluctable en est la pollution de notre environnement interne en tout point similaire à la pollution malheureusement trop connue de notre environnement externe. L’orgueil démesuré de la médecine est à comparer à celui des compagnies pétrolières et chimiques qui ont également cru pouvoir violer la nature sans en payer le prix... (...) Le monopole qui fut réclamé par la profession sur la « science » médicale, la pratique et les soins de santé et qui lui fut accordé constitue la première étape du triomphe du complexe médico-industriel que nous connaissons aujourd’hui. C’est de cette manière que la profession médicale fut amenée à assumer un rôle pour lequel elle n’était pas faite- celui de juge et d’arbitre pour tout ce qui avait trait à la santé... (...) Cette transformation bureaucratique de la médecine en renforçant le pouvoir des organisations professionnelles et en réduisant celui du praticien a fini par isoler la médecine de toute critique interne comme externe. Les praticiens perdirent ainsi pratiquement la possibilité de tirer signal d’alarme. Le médecin qui constate les conséquences désastreuses des vaccinations peut rarement faire entendre sa voix et ne peut en fait jamais se faire entendre des bureaucrates...Les bureaucraties médicales sont en fait profondément coupées de toute critique extérieure.... (...) La médecine possède également de puissants alliés dans le monde des affaires et de la politique... (...) Le pouvoir corrompt en médecine comme ailleurs. En accordant le pouvoir absolu aux organisations médicales, nous en avons fait des candidats à la corruption absolue... (...) Les décisions qui concernent la santé et la vie de l’individu ne devraient pas être prises par des groupes d’experts auto-proclamés incapables d’assumer la responsabilité de leurs propres erreurs.
Harris L. Coulter (Historien de la medicine) : Vaccination Social Violence and Criminality- The Medical Assault on the American Brain, p. 260-262. (445 ref. bibl.)
Aujourd’hui, la société paye un lourd tribut en maladies et décès pour le monopole qui fut accordé à la profession médicale dans les années ‘1920. En fait, la situation ressemble singulièrement à celle de 1830, époque à laquelle les médecins avaient recours à la saignée, aux médicaments mercuriels et à la quinine, bien qu’ils en connaissaient le caractère intrinsèquement nocif. Ce sont précisément les mêmes arguments qui furent employés pour défendre ces thérapies qui sont repris aujourd’hui : les bénéfices l’emportent sur les Risques ! Harris L. Coulter
(1) Harris Coulter précise : « Que faut-il penser d’une « science » qui inflige des dommages neurologiques à plusieurs centaines de milliers d’enfants chaque année ? » (p.262)
La responsabilité de cette analyse incombe essentiellement à son seul auteur.
LES VACCINS SONT CONTRAIRES AUX DROITS DE L’HOMME
LES VACCINS SONT DES POISONS
« Je ne conteste pas le droit à ceux qui veulent se faire vacciner de le faire, mais je leur conteste le droit d’imposer leurs croyances à tous. C’est inadmissible dans une démocratie digne de ce nom. C’est contraire aux Droits de l’Homme. C’est incompatible avec la déontologie médicale qui veut que le médecin considère chaque patient dans son individualité et ne lui applique pas des mesures uniformisées. Que dirait-on d’un médecin qui donnerait le même médicament à tous ses patients sans les avoir ni interrogés, ni examinés un par un ? C’est pourtant ce que les vaccinalistes veulent imposer en faisant fi des règles fondamentales de la pratique médicale qui ont été appliquées depuis des millénaires. Jusqu’à l’ère des vaccins, la médecine a toujours été une relation humaine, directe, intime, entre le médecin et son patient. Imposer à tous des mesures dictées par les scientifiques de la branche médicale dominante, ce n’est plus de la médecine, c’est une forme sournoise de dictature. Dans quelques années, dira-t-on des scientifiques vaccinalistes qu’ils étaient, comme Calvin « victimes des erreurs de leur temps » ? Il y a en effet, à deux pas de l’hôpital cantonal de Genève, une plaque commémorative sur laquelle on peut lire : « Ici Calvin, victime des erreurs de son temps, fit brûler Michel Servet ». Ce médecin avant-gardiste avait eu en effet l’audace de remettre en question les dogmes médicaux de l’époque.
Le prix Nobel de Médecine John Eccles a écrit : « La majorité des savants est formée à l’école du matérialisme. C’est un moule extrêmement rigide, constitué par un ensemble de dogmes qui ne sont pas nécessairement justifiés du point de vue scientifique ! Entre autres, l’affirmation que notre existence n’est rien de plus qu’une simple combinaison biologique, en renonçant à comprendre tous les éléments qui ne trouvent pas leur place dans cet ensemble (sous prétexte qu’ils ne seraient pas « scientifiques » ) est pire qu’un dogme : c’est une superstition ! La science est truffée de superstitions, de croyances en tout genre... Mais ce qui est vraiment déconcertant, c’est que les gens soient persuadés que la science a réponse à tout. »
Et le professeur Peter Duesberg, un des grands rétrovirologues de notre époque s’est exclamé : « La science, à notre époque, a abandonné toute prétention philosophique et est devenue une affaire commerciale qui modèle la mentalité de ceux qui la pratiquent. Les glorieuses découvertes du passé ne sont plus utilisées comme des moyens d’illumination mais comme des moyens d’intimidation. Il s’agit de faire un pas en avant si l’on ne veut pas que la profession de scientifique devienne un club de gens qui mettent leurs contemporains en esclavage. »
Il est dramatique qu’aujourd’hui, comme l’a écrit le professeur Zarifian dans son Rapport sur les psychotropes, que « pratiquement toutes les études cliniques, épidémiologiques et médico-économiques soient suscitées, financées et exploitées au plan statistique de manière autonome par l’industrie pharmaceutique et les sous-traitants qu’elle rémunère. »
La médecine devrait être au service des patients et non des intérêts commerciaux des producteurs de médicaments et de vaccins. »
Docteur Christian Tal SCHALLER : « Les vaccins sont des poisons » (Vivez Soleil, 2004) « VACCINS : L’avis d’un médecin holistique » (M.Pietteur,2006)
VACCINS ET CROYANCE La peur se vend bien
Dr Sherri Tenpenny
Il est intéressant de constater comment une discussion sur les vaccinations peut rapidement devenir animée et parfois même agressive. Pareille animosité se manifesterait-elle au sujet d’un antibiotique ou d’un médicament contre la tension s’il était démontré que le médicament pouvait être dangereux ? Il y a peu de chances. Le médicament serait retiré du marché s’il était prouvé qu’il entraîne des décès. Même s’il ne s’agissait que de soupçons, sa commercialisation serait interdite jusqu’à ce que son innocuité puisse être démontrée.
Il n’en va pas de même pour les vaccins. Leur promotion est souvent assurée avec grand renfort de publicité jusqu’à ce que les statistiques démontrent qu’ils provoquent des dommages chez un grand nombre des personnes. Mais les milliers de personnes qui souffrent des effets secondaires des vaccins comparées aux millions d’individus vaccinés ne sont pas considérées comme mathématiquement et statistiquement significatives. Le fait cependant que plus d’un billion de dollars ait été consacré (aux U.S.A.) à payer des indemnités aux victimes des vaccinations, démontre clairement que la sécurité des vaccins n’est pas l’objectif essentiel qui ait été favorisé. Pourquoi ce double critère ?
Ce double langage existe parce que la vaccination est fondée sur un « système de croyances » et que le fait de remettre en cause la validité des vaccins remet en question de vieilles croyances bien ancrées. Nous CROYONS que les vaccins sont sans dangers ; nous CROYONS que les vaccins sont importants pour notre santé ; nous CROYONS que les vaccins nous protégeront des infections ; nous CROYONS que ce sont les vaccins qui ont fait décroître les maladies infectieuses dans le monde et nous voulons vraiment CROIRE que notre médecin a lu toute l’information disponible des « pour » et des « contre » et qu’il nous délivre la vérité ultime sur les vaccinations...
Cette croyance est en fait basée sur la foi et pas nécessairement sur les faits. L’étude de la littérature émanant du CDC (Center for Disease Control : l’ultime référence en matière d’information santé aux USA) montre cependant clairement que :
1. Les études sur la sécurité des vaccins sont limitées et n’ont été réalisées que sur des enfants en parfaite santé. Il n’a jamais été démontré qu’un vaccin était totalement sans danger. Les études sont parcellaires, limitées et n’ont été réalisées que sur des enfants en « parfaite santé » ; il n’empêche que ces vaccins sont administrés à TOUS les enfants sans tenir compte de leurs véritables conditions de santé ou de leur prédispositions génétiques. Nous avons une politique vaccinale « passe-partout » qui ne tient aucun compte des choix individuels ou des options personnelles, une politique qui a engendré une quantité énorme de problèmes pour tellement de personnes.
2. Les études sur la sécurité des vaccins sont insuffisantes et incomplètes En ce qui concerne les études cliniques concernant la « sécurité », le suivi (des effets secondaires) se limite à une durée dérisoire de 14 à 21 jours, parfois 5 jours, alors que les problèmes complexes liés au système immunitaire peuvent prendre des semaines et même des mois avant de se manifester. Les délais arbitraires fixés par la FDA et l’industrie pharmaceutique mettent un terme au suivi bien avant que nombre de complications soient susceptibles de se manifester. Telle est la base même du mantra habituel « les vaccins sont sans danger », alors que les complications long terme peu connues sont ignorées.
3. Les études ne font pas appel à de véritables placebos. On pourrait d’emblée croire qu’une étude sur la sécurité des vaccins consiste à comparer un nouveau vaccin avec un « placebo ». Quand on examine cependant ces études d’un peu plus près, on découvre que le « placebo » n’est PAS une substance neutre, inerte comme une solution saline ou simplement de l’eau. Le « placebo » est en fait un autre vaccin dont le « profile de sécurité est connu ». Il s’ensuit que si le nouveau vaccin révèle les mêmes effets secondaires que le « placebo », il sera considéré comme « sans danger ».
4. Les anticorps engendrés par le vaccin ne sont pas synonymes de protection. L’on considère que les vaccins assurent la protection grâce au développement d’ anti- corps. Il existe cependant de nombreuses références dans la documentation du CDC ( la plus Haute Autorité du pays en ce qui concerne les vaccins) qui montrent que les anticorps ne protègent pas nécessairement de l’infection. Ci-dessous quelques exemples repris de la presse médicale et des documents du CDC :
Coqueluche : les recherches sur l’efficacité des vaccins n’ont pu montrer une corrélation directe entre la réponse des anticorps et la protection contre la coqueluche.
« The findings of efficacy studies have not demonstrated a direct correlation between antibody response and protection against pertussis disease.” MMWR, March 28, 1997/Vol.46/N).RR-7,p.4.
Variole : Bien que l’on considère que les anticorps neutralisant reflètent les niveaux de protection, ce fait n’a pu être démontré sur le terrain.
Smallpox : « Neutralizing antibodies are reported to reflect levels of protection, although this has not been validated in the field.” JAMA, June 9, 1999, Vol. 281,N°22,p.3132.
Hemophilus influenzae B (HIB) : Le rôle des anticorps pour assurer une protection clinique n’est pas connu .
H.Flu (HIB) : « The antibody contribution to clinical protection is unknown.” HibTITER package insert : “ The precise level of antibody required for protection against HiB invasive disease is not clearly established .” http://www.cdc.gov/nip/publications/pink/hib.pdf Le niveau précis d’anticorps nécessaires à une protection contre le HIB n’a pas clairement été établi.
5. Nous voulons CROIRE que le vaccin nous protégera de l’infection. Plusieurs articles publiés dans des journaux médicaux montrent que ce n’est pas nécessairement le cas.
Quelques exemples :
Coqueluche chez des enfants parfaitement vaccinés dans des Centres de soins, Israël Pertussis Infection in Fully Vaccinated Children in Day-Care Centers, Israël ( Emerging Infectious Diseases Vol.6,N°5 ; sept.-oct 2000)
Coqueluche dans une population fortement vaccinée. Pays-Bas Pertussis in the Highly Vaccinated Population, the Netherlands ( Emerging Infectious Diseases, Vol.6,N° 4, July-aug. 2000)
Coqueluche en 1999 dans le Nord Ouest de l’Australie ; tous vaccinés. Pertussis in North-West Australia in 1999 ; all vaccinated. ( Communicable Diseases Intelligence 2000, Vol.2 4 n°12 )
Le débat sur les vaccins se poursuit ainsi avec des « études », des « données » qui servent à soutenir les thèses des deux camps. Mais le fond du problème est le suivant :
La vaccination a été « acceptée » comme efficace, protectrice et sans danger depuis environ 200 ans. Il s’agit en fait d’une « vache sacrée ». Toutes les « vaches sacrées » font réagir les hommes avec leurs tripes quand quelqu’un se permet de suggérer que la « vache » doit être « sacrifiée ». Les exemples ne manquèrent pas au cours des siècles : quand Copernic a voulu montrer que c’était le soleil et non la terre qui était le centre du système solaire, il allait à l’encontre des croyances philosophiques et religieuses du Moyen-Âge. Quand deux scientifiques italiens Galilée et Bruno ont embrassé la théorie Copernicienne, leurs commentaires furent jugés blasphématoires. Bruno fut jugé par l’Inquisition et condamné au bûcher en 1600. Trente ans plus tard, Galilée fut traîné devant ses « supérieurs » et forcé de renoncer à ses croyances sous menace de torture et de mort. Même après sa confession, il fut condamné à la prison pour le restant de ses jours. Semmelweiss qui avait démontré que les médecins qui se lavaient les mains sauvaient la vie des femmes (qu’ils accouchaient) fut aussi ridiculisé de son temps. C’est en fait une hérésie de mettre en cause le « statu quo ».
Les statistiques ont montré que confrontés à une idée nouvelle, quelque peu provocatrice, 96% des personnes appliqueront leur temps et leur énergie à défendre les croyances généralement admises, et seulement 4% pourront accepter que la nouvelle idée mérite d’être sérieusement envisagée.
Effectuer des recherches sur les vaccinations, ainsi que sur l’industrie des vaccinations, ne pourra qu’ébranler vos « croyances » sur les vaccins. Quand vous étudierez les effets secondaires- réels et théoriques- que les vaccins peuvent avoir sur le système immunitaire, vous ferez vraisemblablement partie des 4% qui comprennent que la « vérité » sur les vaccins n’est pas véritablement « La Vérité », et que les politiques vaccinales passe-partout qui nous sont imposées doivent changer.
Au plus on effectue des recherches sur les vaccins et leurs effets secondaires au plus on devient l’hérétique Copernicien qui ne peut que dénoncer un « statu quo » pouvant avoir des conséquences mortelles. J’ai personnellement investi 8.000 heures de travail pour pouvoir révéler la vérité sur les vaccins ! Si les résultats de cette enquête et de cette révélation doivent être qualifiés d’hérétiques, je puis alors dire que je me trouve en excellente et merveilleuse compagnie.
Dr Sherri Tenpenny New Medical Awareness Seminars www.nmaseminars.com http://www.thenhf.com/vaccinations/vaccinations_129.htm
A la suite d’un travail intense de recherche, tant dans la presse médicale, qu’au CDC (Agence Gouvernementale Américaine ; la plus Haute Autorité Médicale des E.U. en matière de vaccinations), le Dr Sherri Tenpenny conclut que les vaccins ne sont ni efficaces, ni dépourvus de risques. Le Dr Sh.Tenpenny est l’auteur de 2 DVD (Vidéos) :
- VACCINES : What CDC documents and Science Reveal
- VACCINES : the risks, the benefits, the choices
« La souffrance engendrée par une idée nouvelle est l’une des plus grandes peurs que peut connaître l’homme. Ses plus chères idées pourraient être fausses ; sa nourriture préférée, la cause de ses plus grandes souffrances ! C’est un fait avéré que l’homme trouve plus facile de croire le mensonge mille fois répété que de s’incliner devant des évidences dont il n’a jamais entendu parler. » Daniel P.REID Si vous pensez qu’une chose est vraie parce que tout le monde y croit, alors tout simplement vous ne pensez pas. Vievienne Westwood
C’est le célèbre historien de la médecine, Harris COULTER qui écrit :
L’une des raisons principales du déclin de l’Empire romain, après six siècles de domination mondiale, fut liée au remplacement, pour le transport de l’eau potable, des aqueducs en pierre par des tuyaux de plomb. Les ingénieurs romains, qui étaient les meilleurs du monde, firent de leurs concitoyens des handicapés neurologiques, victimes du saturnisme. De nos jours, nos scientifiques de pointe, mus par les meilleures intentions du monde, sont en train d’obtenir le même résultat par des programmes de vaccinations infantiles qui débouchent sur les fléaux modernes de l’hyperactivité, de l’autisme, de désordres neurologiques et de troubles du comportement marqués par le sceau de la violence. Harris Coulter : VACCINATION, SOCIAL VIOLENCE AND CRIMINALITY
« OU RESTE LE RESPECT DE L’INDIVIDU, LA DIGNITE DE L’ESPRIT, LA SCIENCE (1) EN FACE DE DOCTRINES OBLIGATOIRES ET INFAILLIBLES ASSORTIES DE SANCTIONS PENALES ? » Maître Frédéric HOFFET
Maître Frédéric HOFFET, Avocat au Barreau de Strasbourg, et qui avait perdu un enfant à la suite d’une vaccination écrit : « Il y eut aussi, chez Petit Pierre, cette étrange connaissance, qui fait que les tout petits en savent souvent davantage que les hommes de science sur les problèmes les plus angoissants de la vie. Il en savait en tout cas plus que nous sur les dangers de cette drogue par laquelle nous lui donnâmes la mort pour le protéger d’un mal hypothétique. Plongés par tout leur être dans l’universel, les tout petits sentent ce que nous ne sentons plus. Ils sont plus près de Dieu qui voit et connaît tout, affirme le croyant... Ce qui est intéressant dans le cas de mon fils, c’est la lumière qu’il jette sur les méthodes de l’Institut... et de nos autorités médicales et sur les vices de raisonnement qui heurteraient d’emblée le moindre professeur de logique, le moindre juge d’instruction. Au lieu de savants froids et pondérés que j’avais cru trouver, je découvris des pontifes remplis de leur importance, n’acceptant pas la moindre contradiction et élevant au niveau d’à priori indiscutables les doctrines peut-être intéressantes, peut-être même fécondes, mais nécessairement relatives, dont ils font leur affaire... On reste pantois devant la simplicité et la crédulité de nos professeurs. Nous ne sommes plus sur le terrain de la réalité, mais en pleine mystique : ces Messieurs sont des croyants, l’élément essentiel du raisonnement scientifique, qui est le doute, leur fait défaut....Les théories de nos savants ne sont plus des hypothèses, mais des dogmes, que l’on impose aux Facultés, aux ministères, aux étudiants et aux praticiens, qui doivent s’y soumettre sous peine d’excommunication majeure. (1) Les vérités d’Etat deviennent par surcroît lois d’Etat, et le bras séculier les sanctionne. Le peuple ignorant accepte et suit : on lui cache ce qui pourrait aller contre les thèses officielles... Ce qu’il y a de plus grave, et ce que nous enseigne l’affaire de mon fils, c’est que l’on ne peut avoir aucune confiance dans les raisonnements de nos maîtres, dans les déclarations de nos autorités médicales et dans les statistiques dont celles-ci s’enorgueillissent...Malhonnêteté ? Dans les cas plus rares. Aveuglement ? Peut-être, et certainement mystique ! Je suis persuadé que beaucoup de nos tyrans sont entièrement sincères. Ils ne voient plus, ils ne pensent plus que dans les termes des doctrines obligatoires. Je ne peux même pas leur en vouloir. Ils sont, eux aussi, des victimes. Ce que pourtant je n’accepte pas, c’est que l’on impose aux citoyens d’une démocratie, des opérations médicales discutables(2) ; c’est qu’on force les consciences, qu’on contraigne les corps, et qu’on se moque de l’angoisse des mères. Quand on raconte à un anglais, à un Américain, voire à un allemand, la façon dont on chasse de nos écoles des enfants auxquels leurs parents ont refusé d’administrer un vaccin qu’on rejette chez eux, on a honte d’être français ? Où reste l’intégrité de la personne ? Où reste le respect de l’individu, la dignité de l’esprit, la science, en face de doctrines obligatoires et infaillibles assorties de sanctions pénales ? Tout cela sent étrangement le totalitarisme. (3) Il est nécessaire que les Français se rendent enfin compte qu’ils sont victimes de la part de leurs autorités médicales, d’une dictature d’autant plus odieuse qu’elle est, non seulement occulte mais, ce qui est pire, inconsciente. Il est temps qu’une médecine vraiment scientifique et humaine, une médecine libre, que ne lie aucune crainte, n’arrête aucun tabou, détrône la médecine dogmatique et officielle de nos pontifes et de nos ministères. » Me. F.HOFFET
Conscient que « les hommes s’aveuglent sur les conséquences de leur compulsion à empoisonner le vivant sous prétexte de le protéger », Maître Frédéric Hoffet, à la suite de la perte de son enfant, s’est engagé dans la lutte contre ce qu’il appelle « une tyrannie dont le public ignore jusqu’à l’existence et qui cependant est plus cruelle que toutes celles que l’on se plaît à fustiger chaque jour ».
(1) « Que vaut en effet une science livrée au dogmatisme d’un clan et qui ne considère plus le doute comme un moteur de progrès ? » Lucienne FOUCRAS
(2a) « Les accidents causés par les vaccinations ont été volontairement laissés dans l’ombre et, quand certains ont été révélés, l’importance en a été minimisée. Aucune enquête épidémiologique d’envergure n’a jamais été réalisée pour en connaître la fréquence. Par voie de conséquence, le rapport bénéfices/risques, sur lequel s’appuient de nombreux auteurs pour dire qu’il faut continuer à vacciner malgré les accidents qu’ils décrivent, n’a jamais été établi, pas plus d’ailleurs que le rapport coût/bénéfice. » Pr Michel Georget (2b) Au cours du Colloque organisé le 5 avril 2002 au PARLEMENT EUROPEEN « Les vaccinations en question » , le Pr. Bonnie DUNBAR (USA), Professeur de biologie moléculaire et cellulaire au Baylor College de Houston et expert en matière de vaccinations devait déclarer : « ... Bien que des milliards de dollars aient été dépensés pour développer ces vaccins, on notera que virtuellement aucun budget n’a été débloqué pour étudier les manifestations postvaccinales indésirables : il y a donc de quoi s’inquiéter... En synthèse, il apparaît que nous ne disposons pas de données scientifiques et cliniques suffisantes pour évaluer la sécurité ou l’efficacité des vaccins. Tant que des études moléculaires rigoureuses et des recherches épidémiologiques ne seront pas menées à bien, il sera impossible d’évaluer les risques et les bénéfices de la plupart des vaccins. »
(3) « A moins d’insérer le principe de liberté médicale dans la Constitution, viendra un temps où la médicine finira par s’organiser en dictature secrète... restreindre l’art de guérir à une seule classe d’individus et refuser les mêmes privilèges à d’autres constituera la Bastille de la science médicale. Pareilles lois sont anti-américaines et despotiques ; elles n’ont aucune place dans la république... La Constitution de cette république doit accorder les mêmes privilèges pour la liberté médicale que pour la liberté religieuse. » Dr Benjamin RUSH, signataire de la Déclaration d’Indépendance, U.S.A.
“Those who lack all idea that it is possible to be wrong can learn nothing except know-how.” Gregory Bateson
« Nous sommes au cœur d’une épidémie à échelle internationale. Ceux qui avaient la charge d’en trouver les causes et d’y apporter les remèdes ont échoué. Parmi les raisons de cet échec , il y a le fait que ces gens sont confrontés à la perspective qu’ils pourraient, eux-mêmes, être les responsables de cette épidémie. Dès lors, tout ce qu’ils entreprennent pour pouvoir se disculper ne peut, en fait, que retarder le progrès. Je crois vraiment que les responsables de la santé savent pertinemment qu’il y a un problème ; ils veulent cependant le nier, et acceptent la perte d’un nombre indéterminé d’enfants, parce qu’ils pensent que le succès de leur politique de santé publique - la vaccination obligatoire - entraîne inéluctablement des sacrifices.- Ni moi, ni mes collègues ne pouvons accepter la croyance qu’un seul enfant soit « sacrifiable ». On a déjà eu affaire à pareilles croyances au cours de l’histoire ! - Ce sont vous, les parents et vous les enfants,qui êtes la source même de notre inspiration et de notre force dans cette recherche de vérité que nous avons entreprise au travers de la science - science remplie de compassion, science intransigeante et non corrompue. Je ne veux nullement vous inciter à la révolte ; vous devez cependant être assurés qu’armés de la science, il est en votre pouvoir d’imposer ces vérités auprès des pédiatres, du Congrès et des tribunaux. Continuez à faire confiance à votre intuition- elle vous a déjà bien servi. » Dr Andy Wakefield, (April 22, 2002 « Power of one-idea » Rally, Washington DC) *********************************************************************************************************************************************************************************
Essayez d’imaginer que vous êtes en train de créer les structures de la destinée humaine avec comme objectif de rendre les hommes heureux et de finalement leur accorder paix et repos. Mais, si pour réaliser cet objectif il était essentiel et inévitable de torturer à mort un seul petit être ... et de fonder tout l’ édifice sur ses larmes innocentes, consentiriez-vous à en être l’architecte ? Répondez et dites la vérité ! F. Dostoyevski
“ Imagine that you are creating a fabric of human destiny with the object of making men happy in the end, giving them peace and rest at last but it was essential and inevitable to torture to death only one tiny creature... and to found that edifice on its un-avenged tears, would you consent to be the architect on those conditions ? Tell me, and tell the truth.” Fyodor Dostoyevski
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération