Ah, toute cette histoire me rappelle, non sans une certaine nostalgie, la belle époque où nous refilions nos mirage F1 et nos Super Etandards à l’ami Saddam, en l’échange de quelque barils de pétrole. Mais l’histoire est un éternel recommencement, nous avons trouvé un nouvel ami !
Quand à ceux qui doutent de l’humanisme de notre président, et insinuent qu’il aurait honteusement poussé le conducteur du train pour prendre sa place à quelques mètres de l’arrivée et recueillir le fruit d’un travail de longue alleine fourni par d’obscures fourmies besogneuses, c’est tout simplement que leurs yeux ne supportent pas la lumière du talent.