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@Eric F Oui, vous avez raison, le désendettement était la voie à suivre. L’autre voie — jamais suivie — par les pays occidentaux, est de reprendre la main sur le contrôle de leur monnaie, sans dépendre de la FED aux USA (banque privée sous des apparences d’établissement fédéral, creusez le sujet vous ferez des découvertes fondamentales), et la BCE en Europe (qui a de même été chercher des refinancements auprès de la FED depuis 20028, ce qui est formellement interdit par les traités européens). Bref le financier de tous ces états se frotte les mains...
18 février 2022 Le Conseil d’Etat ne suspend pas la 3ème dose bien qu’il reconnaisse l’existence d’effets secondaires graves liés à la vaccination ! Le Conseil d’État s’appuie sur Delfraissy et ses amis Le juge des référés estime qu’il n’y a pas de doute sérieux sur la légalité du décret attaqué et se réfère pour cela à l’avis du conseil scientifique du 13 janvier 2022 et celui de la HAS en date 23 décembre 2021 (toujours sur la question de savoir s’il faudrait suspendre le décret de la 3e dose obligatoire aux 18-65 ans).
Il faut savoir que M. Delfraissy se défend toujours de n’être qu’une simple autorité consultative quand il est en audition en commission d’enquête parlementaire. Le problème, c’est que les avis qu’il rend servent de base juridique à des décisions de justice …
Une fois cette histoire terminée, il va y avoir un grand ménage à faire, y compris au conseil d’état (sans parler du conseil constitutionnel avec L.Fabius à sa tête)
18 février 2022 Le président du conseil scientifique Delfraissy explique qu’il faut changer d’ère, arrêter (définitivement) l’obligation d’injection. Il a juste privé avec son acolyte Véran pendant 7 mois les non vaccinés de vie sociale.. Et obligé d’autres à prendre l’injection pour pouvoir garder leur emploi et leu salaire (infirmières, médecins, policiers, pompiers, personnels d’établissement médicaux ou spécialisés ) ! https://twitter.com/i/status/1494572631013662720
../..L’inflation compte deux raisons essentielles.../..
Elle en compte une troisième : l’intérêt des endettés (par exemple au hasard, les états des pays latins en Europe) à se désendetter à bon compte dans une monnaie dévaluée.
Rappel :
Quelques remarques sur l’inflation. (Charles Gave) Le 17/01/2022 Il est en train de se produire l’un de ces évènements importants : l’inflation est de retour . L’expérience des dernières années est tout à fait similaire aux périodes précédentes : Depuis 2003 des hausses inflationnistes structurelles sont interrompues par des baisses cycliques dues à des recessions comme en 2009, 2012 (en Europe) ou en 2020. Ce qui veut dire que les ménages les plus modestes voient leurs niveaux de vie baisser le plus lors des poussées inflationnistes et donc que suivre une politique inflationniste, c’est attaquer directement les plus pauvres dans la société Ce qui m’amène à mon dernier point : le caractère toujours désastreux d’une politique inflationniste.
Une politique inflationniste est en effet toujours désastreuse, à l’arrivée. Et la question se pose immédiatement des raisons qui peuvent pousser une banque centrale à y avoir recours alors que tout le monde sait que la fin d’une période inflationniste est toujours extraordinairement difficile.
Pourquoi donc suivre une politique condamnée à l’échec ? Les raisons sont nombreuses et non mutuellement exclusives.
Les voici.
L’incompétence. Acceptable pour le Zimbabwe, mais pas pour les USA ou la France, quoique, dans le cas de madame Hidalgo ou de monsieur Mélenchon, le débat soit ouvert. L’idéologie. Beaucoup d’hommes politiques de gauche ont un projet millénariste d’extinction du capitalisme. L’inflation est la façon la plus sure de transférer les ressources productives du secteur privé vers l’Etat. Un vrai socialiste aura donc automatiquement comme but de foutre la monnaie en l’air, façon la plus rapide et la plus sûre de tuer le secteur privé. La lâcheté. La monnaie est l’égout collecteur des droits non gagnés, disait Rueff. La seule façon de continuer à distribuer des droits non gagnés est bien entendu de ne pas rembourser ceux qui ont prêté de l’argent dans le passé. C’est la méthode dite de Ponzi ou de Madoff. Je songe ici aux assurances vie françaises. La corruption. Ceux qui contrôlent la banque centrale émettent de l’argent dont ils savent qu’il ne vaudra rien bientôt pour s’emparer de biens réels qui vaudront toujours quelque chose. Méthode employée par Henri VIII en Grande Bretagne et par la Révolution en France (assignats) pour s’emparer des biens de l’Eglise, par les socialistes français en 1981 et par les grandes banques d’affaires américaines depuis 2003. Le désir de maintenir en vie une institution qui devrait crever. Ici, je songe à l’Euro que l’on maintient en vie alors même qu’il aurait dû disparaître en 2012, en pratiquant depuis des taux nominaux négatifs, ce qui est sans exemple dans l’histoire. Et en France, comme nous avons une fonction publique que le monde entier nous envie et que cette fonction publique est au pouvoir, nous pratiquons les cinq façons de nous ruiner, depuis 1981 au moins, sans en laisser une seule inexplorée. Et nous allons donc au désastre. Car, comme des taux négatifs sont un impôt sur l’épargne, imposer la création d’épargne revient à en diminuer le montant. Il y a donc moins de capital à investir à l’arrivée (épargne=investissement) ce qui fait que l’investissement s’effondre. Et comme l’investissement s’effondre, la productivité suit avec le niveau de vie de tout un chacun dans le pays, mais aussi la capacité à rembourser la dette passée disparaît.
Et c’est comme ça que l’Argentine est passée du deuxième niveau de vie au monde en 1946 à l’un des plus bas aujourd’hui.
Et c’est comme ça que la France, en Europe, est passée du deuxième niveau de vie en 1973 au onzième en 2020.
../..Ce qui signifie que l’Argentine continuera à devoir 44 milliards au FMI qui devront être remboursés centime par centime au cours des dix prochaines années dans le cadre d’un programme dit de « facilités étendues »[2].
Durant ce temps, le pays ne sera plus complètement souverain en ce qui concerne ses choix de politique budgétaire. ....
Le forum Economique Mondial finira bien par lui forcer la main, par le biais de certains de ses ’Young Leader’ (et le ministre Argentin
de l’Economie, en place, possible complice) à vendre des actifs nationaux à vil prix, à l’image de ce qui s’est produit en Grèce ces dernières années.
Bon courage aux Argentins ! (ne rions pas trop fort, la France tout comme ses voisins latins, n’a pas plus de vertu que l’Argentine dans ce domaine).
Napoléon Bonaparte, (1769-1821)
« Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. »