depuis 2016, je roule en randonnée avec une Electric Motion, moto « française » conçue et assemblée près de Montpellier.
c’est une trial rando, 80kg, 6kW au moteur, et 40Ah pour ce qui concerne les accus. ce vélomoteur (homologué 125) m’a permis d’atteindre 55km (deux fois) en balade « main légère » sur la poignée d’accélérateur, soit plus ou moins trois heures, et avec une température supérieure à 22-25°C
en revanche, en hiver doux (Bretagne) c’est maxi une heure et demi à moins de 12°C et une trentaine de km
la précédente (thermique 400cm3) me permettait une moyenne de 30 kmh, oui, je sais je ne roule pas vite, je regarde aussi la nature ...
celles-ci (1) électriques m’ont permis des rando de 34km en moyenne et pour une vitesse moyenne de 19 kmh, d’après leur compteur.
la différence résulte principalement des parcours de liaisons, l’électrique est montée dans le fourgon vers le lieu de la balade et sur place, en petite liaison, je ne dépasse pas les 30-35kmh
il est toujours frustrant de gérer cette autonomie,(2) 60Ah me conviendrait davantage, mais ce n’est pas disponible.
prêt à répondre à vos questions-commentaires,
1-une première en 2016, la seconde août 2019
2-je n’ai jamais eu ce souci avec la thermique,la fatigue générale arrivait toujours en premier
@Captain Marlo « la terre est plus verte » dit la nasa sauf que c’est en partie dû aux cultures en Inde et aux usa
l’article du lien cité (metrotime.be) induit en erreur manifeste et l’auteur nous prend pour des truffes ...
voici le texte du second lien traduit : Les données satellitaires montrent une augmentation de la surface foliaire de la végétation due à des facteurs directs (gestion de l’utilisation des terres par l’homme) et indirects (tels que le changement climatique, la fertilisation au CO2, les dépôts d’azote et la récupération à la suite de perturbations naturelles). Parmi ceux-ci, les effets du changement climatique et de la fertilisation au CO2 semblent être les principaux moteurs. Cependant, des données satellitaires récentes (2000-2017) révèlent un schéma de verdissement qui est remarquablement important en Chine et en Inde et qui chevauche les terres cultivées dans le monde entier. La Chine représente à elle seule 25% de l’augmentation nette mondiale de la superficie foliaire avec seulement 6,6% de la superficie végétalisée mondiale. Le verdissement en Chine provient des forêts (42%) et des terres cultivées (32%), mais en Inde provient principalement des terres cultivées (82%) avec une contribution mineure des forêts (4,4%). La Chine élabore des programmes ambitieux de conservation et d’expansion des forêts, atténuer la dégradation des terres, la pollution de l’air et les changements climatiques. La production alimentaire en Chine et en Inde a augmenté de plus de 35% depuis 2000, principalement en raison d’une augmentation de la superficie récoltée grâce à des cultures multiples facilitées par l’utilisation d’engrais et l’irrigation de surface et/ou souterraine. Nos résultats indiquent que le facteur direct est un facteur clé de la « terre verte », représentant plus d’un tiers, et probablement plus, de l’augmentation nette observée de la surface des feuilles vertes. Ils soulignent la nécessité d’une représentation réaliste des pratiques d’utilisation des terres par l’homme dans les modèles du système terrestre.