certains détenteurs de titre « or papier » vont avoir un réveil pénible selon H16 (Très concrètement, depuis le début de 2016, le ratio entre le papier et
l’or physique est ainsi passé d’une once physique pour 100 onces papiers
à plus de 500 (autrement dit, chaque once physique est maintenant « possédée » plus de 500 fois).)
@Le p’tit Charles 50% des actifs sont payés par de l’argent public + environ 10% de chômage + 1,8 million de foyer au RSA Il ne va plus rester beaucoup de monde pour alimenter la pompe à (phynance)
Le secteur public au sens strict (État, collectivités locales, fonction hospitalière…) compte environ 5,2 millions de salariés. Au cours des 30 dernières années ses effectifs ont augmenté de plus de 36 % quand ceux du secteur privé croissaient de 16,4% (rapport de la Cour des comptes du 16 décembre 2009).
Ces
5,2 millions de fonctionnaires représentent environ 22 % de l’emploi
total alors que dans les pays de l’OCDE, ce chiffre tourne autour de 15
%, soit 7 % de moins. Autrement dit, nous aurions un bon million de
fonctionnaires en trop par rapport aux autres pays…
Il faut y ajouter l’ensemble des salariés du secteur
parapublic. C’est environ 2 millions de salariés de plus. De la sorte,
cela représente au total 30 % des salariés français (24 millions de
personnes).
Mais il faut aussi prendre en considération le fait que
l’argent public paye indirectement, au travers de subventions ou de
prix de journée, une grande partie des 1,6 millions d’emplois dans le
secteur associatif. Ce secteur est d’ailleurs le grand
bénéficiaire des emplois aidés que tous les gouvernements ont créé
depuis 35 ans sans que leur effet sur l’emploi n’ait jamais été
démontré. En 2012, pas moins de 490 000 contrats aidés ont été conclus,
dont 430 000 dans le secteur non marchand, celui des associations et des
collectivités locales. Le cru 2013 est du même ordre en y incluant 100
000 emplois dits « d’avenir » et qui de mon point de vue sont surtout des
moyens à peu près certains de désapprendre le travail aux rares de leurs
bénéficiaires qui l’ont déjà appris et de déformer les autres pour la
vie en les mettant dans des situations d’exigence et de rigueur qui sont
loin d’être celles du marché, loin de la discipline et de la réactivité
que les entreprises attendent de leurs employés.
Le Politophore
Générateur de discours politiques par Christian Feron
Travailleuses, travailleurs, camarades et amis,
Tout d’abord, je ne crois pas à la fatalité.
Je
ne m’attarderai pas à rappeler que l’augmentation de la délinquance
amène certains d’entre nous à demander (et c’est bien naturel…) plus de
transparence sur la politique du gouvernement. De même, qui n’a pas
remarqué cela : la conjecture actuelle liée à la mondialisation nous
demande, plus que jamais, de rester particulièrement attentifs et
vigilants. De plus, je constate que la montée de la précarité est une
problématique qui n’est pas nouvelle, et qui perdure depuis des années.
Qu’est
devenue la volonté populaire, expression démocratique des peuples à
décider de leur avenir ? Ce constat est sans appel : encore faut-il être
capable de renforcer la cohérence de la politique nationale.
Dès
lors, je déclare avec une conviction sincère que l’augmentation de la
délinquance pose la question de l’égalité des chances, en prenant le
temps d’aller écouter les autres, prendre le temps d’aller les
comprendre. Ce temps n’est jamais perdu, avec plus d’égalité dans le
partage des fruits de la croissance. Également, sans la moindre
hésitation, j’ai la profonde conviction que la conjecture actuelle liée à
la mondialisation doit s’intégrer à une vision plus globale, en
s’attaquant à certains dossiers concrets, avec une conception de la
politique basée, plus que jamais, sur la responsabilité, la cohérence et
le respect des grands équilibres. Enfin, profondément attaché aux
valeurs de la République, je ne m’attarderai pas à rappeler que la
montée de la précarité nous montre que la seule voie possible est
d’amplifier notre action, en défendant des services publics forts, avec
un projet de société allant vers plus d’égalité, de progrès et de
justice.
Pour conclure, j’aurais à cœur de citer Jean Jaurès qui disait : « il faut aller à l’idéal en passant par le réel ». La volonté populaire doit devenir, plus que jamais, une réalité.
L’avenir
est porteur d’espoirs pour chacun d’entre nous avec un programme plus
humain, plus juste et plus fraternel. Tous ensemble, marchons vers
l’avenir !
Travailleuses, travailleurs, camarades et amis, je vous remercie de votre attention.
Quand une idée atteint sa masse critique, il devient
impossible d’empêcher le changement que sa présence induit, il arrive un point où il suffit qu’une seule et unique personne rejoigne
une vague de prise de conscience pour qu’un champ mental se trouve
renforcé, et que cette prise de conscience s’étende à presque tout le
monde !