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  • restezgroupir44 restezgroupir44 28 mars 2012 12:13

    @Noj,


    Il faut vraiment être prétentieux pour penser pouvoir faire changer d’opinion avec un commentaire du niveau du caniveau et les insultes vous disqualifient et nous renseignent sur votre personnalité je vous plains de n’avoir que ces écarts de langage comme arguments les insultes derrière un clavier me renseignent tout de suite à qui j’ai affaire c’est souvent le comportement des lâches. 
    Votre commentaire est aussi pathétique que vous l’êtes vous même, je vous mets en lien mon blog avec la réponse du vieux gâteux faite par mon ami Geluck vous vous reconnaîtrez facilement et si ma réponse ne vous convient pas en bas de la page de mon blog figure une case contact vous pourrez toujours convenir avec moi d’un RDV pour s’expliquer face a face.




  • restezgroupir44 restezgroupir44 27 mars 2012 18:27

    Je vais m’abstenir et cela pour la première fois de ma vie ,j’ai 65 ans et jusqu’à présent j’ai toujours voté à gauche, j’étais contre le vote blanc et l’abstention jusqu’au jour ou mon vote est passé à la poubelle ,je parle du Non au traité de Lisbonne qui à servi à tous les partis pour nous passer à la vaseline ce détournement a été pour moi le signal que la démocratie en France était en voie d’extinction et que notre République est une République bananière . Tous pourris .



  • restezgroupir44 restezgroupir44 27 mars 2012 18:13
    Un travailleur est un esclave à temps partiel. C’est le patron qui décide de l’heure à laquelle il vous faut arriver au travail et de celle de la sortie - et de ce que vous allez y faire entre-temps. Il vous dit quelle quantité de labeur il faut effectuer, et à quel rythme. il a le droit d’exercer son pouvoir jusqu’aux plus humiliantes extrémités. si tel est son bon plaisir, il peut tout réglementer : la fréquence de vos pauses pipi, la manière de vous vêtir, etc. Hors quelques garde-fous juridiques fort variables, il peut vous renvoyer sous n’importe quel prétexte - ou sans la moindre raison.



  • restezgroupir44 restezgroupir44 27 mars 2012 13:37

    J’ai la chance d’avoir un blog et ainsi de pouvoir m’exprimer selon mes sentiments -


     il m’aide aussi à me reconstruire suite à un drame - alors me faire accuser d’être un propagandiste de l’extrème droite !!!!je vous met au défi de trouver un seul article en faveur de la droite ! ce qui ne veut pas dire que je dois être dans le sérail du troupeau de la pensée unique -ainsi je publie et dénonce tout ce qui me paraît critiquable dans cette société et vos réactions sectaires dignes des francs maçons infiltrés par la maffia ne m’incite guère à me taire au contraire et celà me conforte dans mes idées ,je n’appartiens à aucun parti politique et m’en honore .



  • restezgroupir44 restezgroupir44 26 mars 2012 20:01
    Fathi Derder Parlementaire suisse, membre du parti libéral radical, journaliste


    Cher Jean-Luc !

    je vous ai entendu lundi sur Europe 1 :

    vous plaignez les Suisses !


    Vous nous plaignez d’avoir refusé deux semaines de vacances supplémentaires. Ainsi, nous aurions été intimidés par nos méchants patrons.

    Vous précisez même : « Je comprends parfaitement que le patronat suisse utilise tous les arguments, dont la peur et l’insulte, contre les travailleurs ».


    Je ne doute pas que vous le compreniez : la peur et l’insulte, c’est votre truc. Mais bon. Restons concentré sur le fond de votre propos.

    Vous dites comprendre les patrons.


    En fait, vous ne comprenez rien du tout, une fois de plus.

    Il est vrai que nous avons refusé ce week-end l’initiative « six semaines de vacances pour tous ».

    Pour le reste, une ou deux précisions s’imposent. La première : une partie de la gauche était opposée à l’initiative.

    Quant aux patrons, loin de la peur et de l’insulte, ils ont agi avec responsabilité. Une responsabilité citoyenne. Un concept qui vous échappe peut-être.

    Ce que les Suisses ont compris, eux, c’est que plus de vacances, c’est plus d’heures sup.

    Ce que les Suisses ont compris aussi, mon cher Jean-Luc, c’est que le patron est le partenaire de l’employé.


    Nous appelons cela la paix du travail.

    A la grève systématique, nous privilégions le dialogue, le partenariat social.

    De vraies négociations branche par branche, entre gens bien élevés, sans peurs, ni insultes.

    Sans méthodes de voyous.

    Conséquence : notre marché du travail est souple, flexible et redoutablement efficace. Sans chômage, ou presque.


    Le choix du peuple suisse correspond à sa maturité politique. La démocratie directe implique un grand sens des responsabilités.


    Il ne suffit pas de balancer des slogans en chantant Ferrat. Il faut penser aux conséquences, aussi. D’ailleurs, le résultat de ce week-end n’est pas serré : l’initiative pour plus de vacances s’est naufragée dans les urnes, faisant l’unanimité des cantons contre elle.

    En Suisse centrale, l’objet a été littéralement balayé, rejeté par plus de 80% des votants.

    Avouez que ça fait beaucoup de Suisses tétanisés par le patronat !


    Et la Suisse romande ne fait pas exception, bien que proche de vous. Certains disent même que la proximité de la France a joué contre l’initiative : pour le patron des patrons suisses, « le modèle français a fait figure de repoussoir ». Amusant.


    Comme toute la campagne en cours chez vous.

    J’entendais l’autre jour Philippe Poutou à la radio. Il est marrant, lui. Il parlait de vous (entre autres). L’homme du Nouveau parti anticapitaliste y dénonçait notamment les professionnels de la politique qui « ne connaissent rien au monde du travail » (comme vous). S’en est suivi une apologie du candidat salarié (comme lui).


    L’homme du combat contre le capitalisme n’en finissait plus de valoriser le salarié. Sans se rendre compte, visiblement, que le salarié n’existe pas sans « salariant ». En français, son patron. Le capitaliste qu’il aime tant détester.

    D’abord je riais, amusé. Puis je me suis rendu compte que j’étais d’accord avec Poutou sur un point : celui qui vous concerne.


    Il y a quelque chose de bizarre à entendre ces pros de la politique qui ne connaissent pas la réalité du monde du travail... mais qui en parlent quand même !


    D’abord ça fait bizarre. Et puis, quand ils se mettent à critiquer des citoyens travailleurs responsables, ça devient carrément surréaliste.

    Je ne sais pas ce que vous en pensez, mon cher Jean-Luc, vous n’en avez pas parlé à Europe 1.


    Vous avez préféré poursuivre sur la voie de l’insulte et de la peur, en qualifiant la Suisse de « coffre-fort de tous les voyous de la terre ».


    Ah ! Nouvelle erreur, mon cher Jean-Luc : la Suisse n’est pas un coffre-fort, la Suisse est un pays de travailleurs dont vous devriez vous inspirer.


    En commençant par vous mettre au travail vous-même, au lieu de gloser sur les vacances des autres, du haut de votre perchoir de rentier de la politique.


    Non, donc, la Suisse n’est pas un coffre-fort.

    D’une part - peut-être cela vous a-t-il échappé - notre pays renonce actuellement au secret bancaire.


    Mais surtout, l’argent qui va bientôt inonder nos coffres ne sera pas celui de voyous, mais d’honnêtes travailleurs français dont l’Etat souhaite confisquer l’intégralité des revenus, ou presque.


    Pour financer, notamment, une partie de la campagne qui vous permet de nous assommer publiquement de contre-vérités.


    C’est à se demander qui est le voyou : le travailleur, ou le politique qui vit de l’argent du travailleur ?


    Dans l’attente impatiente de vous réentendre parler de la Suisse, je vous adresse, cher Jean-Luc, mes plus laborieux messages.


    Fathi Derder


    Fathi Derder, né en 1970, (41 ans), journaliste de formation, j’ai travaillé pendant près de 12 ans la radio de service public (Radio Suisse Romande), présentateur des matinales, grand reporter, puis rédacteur en chef adjoint. En 2008, j’ai lancé une télévision privée régionale dont j’étais le rédacteur en chef. Et depuis deux mois, je suis élu au Conseil national (parlement fédéral) dans les rangs PLR (équivalent UMP, en un peu plus libéral, plus centre).
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