Qu’y voit-on ? Un patron qui manie la grivoiserie comme en banquet de noce.
C’est grossier, mais pas pire que certaines pitreries de Sire Richard Branson (je leur trouve quelques traits communs personnellement)
C’est une drôle d’époque que nous vivons, où l’on est prêt à s’offusquer d’une plaisanterie de mauvais gout alors que d’autres sujets méritent autrement notre attention (rien qu’on France, y’a de quoi faire)
Ben je vais apporter mon -modeste- contre-exemple.
J’ai reçu une relance pour le paiement des impôts locaux, mais non nominatif. J’ai envoyé un mail pour demander des explications (un peu sec car je n’aime pas ce genre de courrier où l’on vous considère à priori comme un mauvais payeur)
Réponse quelques jours plus tard, avec confirmation du bon encaissement.
Je n’ai eu aucune formation en économie.
Ce que j’ai appris, je l’ai glané sur Internet et encore, cet intérêt est récent. Aussi, si vous relevez des erreurs sur mon commentaire, n’hésitez pas à les souligner...
L’auteur estime que nous devrions suivre la voix de l’amérique en baissant les taux d’intérêts. Cela implique un accroissement de la masse monétaire (faible taux = crédit plus facile = plus d’argent en circulation) qui mécaniquement va dévaloriser la monnaie. D’où augmentation des prix et inflation.
Il y a quelques années, cette inflation était crainte, alors que les salaires étaient indexés sur elle. Aujourd’hui c’est fini. Non seulement les prix risquent de flamber (et bien plus que ce que l’on connait aujoud’hui) mais nos salaires...non.
Le danger est bien là. Je pense que l’inflation actuelle ne justifie pas une hausse des taux qui pourrait être catastrophique pour certains secteurs (l’immobilier par exemple) Mais ce n’est pas pour autant une raison de les baisser (ces taux sont déjà relativement bas, faut pas l’oublier)
Le mot est mal trouvé c’est vrai. Glander n’a rien de négatif si c’est un moment passager.
Je trouve bizarre en fait qu’elle n’ait pas plutôt choisi le terme de « zoner ». Zoner, c’est bien trainer ici et là sans avoir rien à faire et ça colle parfaitement à la situation de ces jeunes. Et ce mot est leur invention il me semble (la glandouille, c’est plus ancien)
Donc, je propose de rebaptiser le plan « anti-zonage » !