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Richard Schneider

Richard Schneider

 
"La politique est l'art d'empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde."
Paul Valéry.

Tableau de bord

  • Premier article le 14/09/2011
  • Modérateur depuis le 14/11/2011
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Derniers commentaires



  • Richard Schneider Richard Schneider 13 novembre 2011 16:24

    La France en stagflation dans les années 70 ?

    Pouvez-vous citer des sources objectives pour étayer votre affirmation.
    Que l’inflation ait été forte pendant la période Giscard, donc à partir de 1974, c’est exact. Mais la croissance n’a jamais été nulle ... C’est l’emprunt Giscard qui grevé les finances l’état : lancé en 1973 par le Ministre Giscard d’Estaing - 7,5 milliard de francs sur 15 ans, l’état dut rembourser (en intérêts et capital) plus de 90 milliards de francs ! Et pour rembourser, l’état dut donc emprunter aux banques privées ...
    Certes, le mot « complot » est un peu excessif. Il n’en demeure pas moins que depuis cette date, les libéraux commencent, en Occident, à exercer leurs pressions sur l’économie et les gouvernements. Ils les accentueront avec Thatcher et Reagan un peu plus tard. Avec la chute du Mur et la conversion de la Chine au capitalisme, ils sont en passe de l’emporter aujourd’hui un peu partout dans le monde.
    Ce n’est donc pas un simple « mécanisme économique » qui est à l’origine de la crise ; c’est une action délibérée de la part des acteurs de la mondialisation ultra-libérale, afin de promouvoir un Nouvel Ordre Mondial.

     


  • Richard Schneider Richard Schneider 13 novembre 2011 15:40

    Article particulièrement bien venu.

    Le silence des médias démontre amplement la complicité de l’establishment pour faire aboutir la vaste manipulation internationale consistant à la création d’un nouvel ordre mondial - et, ni le FN, ni Melenchon ou l’extrême-gauche ne pourront rien faire pour endiguer la victoire finale de l’ultra-libéralisme mondialisé ! Voir ce qui se passe en Grèce ou en Italie. Ce sont des « économistes distingués » qui remplacent des politiques. Demandons-nous pourquoi Bruxelles, Merkel et Sarkozy envoient leurs plus chaleureuses félicitations aux nouveaux promus ?

    Un lien qui étaye la thèse énoncée ci-dessus :



  • Richard Schneider Richard Schneider 12 novembre 2011 21:06

    à l’auteur :

    En 2007, le Storytelling de Sarkozy a marché : il avait une bonne histoire à raconter. En 2012, il sait qu’il a échoué sur tous les plans ; il est impopulaire. Que lui reste-t-il ? Il lui reste à promouvoir, avec ses amis, une vaste machination - que j’essaie de décrire dans un article que AgoraVox ne semble pas vouloir publier - dont l’objectif est de décrédibiliser Hollande. Il faut enfoncer dans le crâne des Français que seul lui, en 2012, sera capable de leur éviter un sort semblable à celui qui frappe les Espagnols, les Portugais et surtout les Grecs. Lui seul à l’expérience et l’autorité nécessaires pour négocier avec les « Grands » de ce monde. Hollande non seulement ne peut pas connaître les dossiers, mais en plus il est irresponsable, bref il est peut-être assez sympathique, mais c’est un amateur à côté de moi, Sarkozy. Et vous Français, avez-vous intérêt à élire un homme de second rang, ou bien un homme qui a déjà montré son tout son savoir-faire (?) face à la « terrible » crise économique qui sévit ?
    Il semble bien que le candidat socialiste soit conscient de ce danger. Le Monde rapporte qu’un membre du staff de Hollande a dit : 

    « Le président n’a aucune chance de nous sauver de la crise. Mais la crise, elle, a une chance de sauver le président."

    Le chemin du socialiste est étroit. Il n’a pas l’appareil de l’état à sa disposition. Il ne peut se lancer dans la campagne ni trop tôt (comme Royal en 2006) ni trop tard (il risque de paraître continuellement à la traîne de Sarkozy). Et surtout il devra adapter son programme à un environnement incertain, d’autant plus difficile à maîtriser qu’il n’est pas aux affaires ... 



  • Richard Schneider Richard Schneider 12 novembre 2011 17:00

    à Chapoutier :

    Que l’hégémonique Merkel et l’arrogant Sarkozy aient eu peur ? ... Peut-être. Un fait révélé vendredi dernier sur un blog allemand a fait tilt. Il paraît que la Chancelière n’était pas si mécontente que ça de voir Papandreou s’enferrer dans cette histoire de référendum.
    D’autre part, sous l’instigation de leurs collègues grecs, les députés conservateurs européens se sont, paraît-il, déchaînés contre le gouvernement athénien pendant au moins trois jours de suite au Parlement européen ...
    Je dis donc : bizarre, bizarre ..


  • Richard Schneider Richard Schneider 11 novembre 2011 19:20

    à Alef :

    Bien que je sois plutôt partisan de la sortie du nucléaire, je dois reconnaître que vous n’avez pas tort. Il est incontestable qu’un sortie brutale coûtera très, très cher - quoiqu’en disent mes amis écolos. Surtout que les énergies de remplacement ne sont pas (encore ?) fiables ...
    Mais, in fine, il faudra quand même arrêter la production d’électricité par des centrales nucléaires : elles sont potentiellement dangereuses et on ne sait toujours pas quoi faire des déchets.
    Je pense que l’on peut raisonnablement programmer une sortie sur 30 à 40 ans, en travaillant sérieusement à la reconversion - lutter contre les gaspillages, améliorer les techniques de substitution et, pourquoi, pas continuer des recherche sur l’atome pour encore mieux le maîtriser.
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