Pour les bretons qui ne parlent pas un breton(celui du coin), ils doivent s’en prendre à leurs aïeuls. Ils se sont insuffisamment opposés à la république qui imposait le français. Le patois Alsacien a bien mieux survécu. Ils peuvent toujours se consoler au Pays de Galles dont non seulement l’hymne mais la langue celte est assez proche. Pour Nantes, il faut s’en prendre à un autre nabot : Léon. Sinon, il faut remonter plus loin à Annes la renégate.
Les équipes de joueurs vont-elles chanter ? Y compris les mercenaires ?
Je soutiens les Valaisans et pas mes voisins Bâlois.
Quels sont les coûts des analyses en France par rapport aux autres Pays (Europe, Canada..) ? Quel est notre ratio de labo/100000hab ? Un biologiste n’est pas un gestionnaire. L’ouverture à la concurrence et le regroupement des analyses(centre automatisé) ne peuvent que contribuer à cet abaissement des prix. Il faut réactiver l’article 20 et enterrer ces monopoles d’un autre âge. Au final, nous avons tous la double peine : la censure du médecin à prescrire une chère analyse et les impôts pour combler les déficits.
Un retraité non imposable paye donc plein pot ces services indispensables. Cela profite indirectement à l’actif valide imposable attiré par l’incitation fiscale sur des services de confort facultatif...Il faut continuer à dénoncer cette injustice.
Les constructeurs US étaient malades avant la crise. Pour l’EU, la situation est un peu différente. Les causes de la baisse actuelle sont multiples :
- Manque de crédit (le gros des ventes de voiture)
- Le contexte économique.Quel avenir ? L’achat d’une voiture peut être différé de quelques mois.
- Le prix explosif du pétrole avant les congés (le plein à 100€ pour les gros réservoirs).
- Une perception de la voiture qui évolue vers un objet moins passionnel, moins statutaire.. et plus fonctionnel/basique( merci les taxes et réglementations de toutes sortes)
- une "conscience" environnementale.
Dans ce contexte, les achats sont repoussés mais pour combien de temps ? La population mondiale et française a été multipliée depuis le début du XXème siécle cité et cela continue. Les besoins individuels de mobilité sont également plus importants même si les déplacements ont diminué ces derniers temps par un coût d’usage en hausse(carburant, radars..).
Le marché existe et il évolue. Le véhicule de masse "miraculeux" n’existe pas encore : rentable mais consommant peu/pas, pas cher surtout à l’usage et bien sûr non polluant. Aurons-nous d’ailleurs une rupture technique ou une évolution progressive du mode d’énergie ?
La voiture est un produit très très high tech ne serait-ce que pour la sécurité et l’environnement.
Qui donc est le mieux armé pour résoudre cette équation ?
Notre industrie, comme notre agriculture, est nécessaire et l’automobile avec nos 2 groupes est la plus grosse part. Il est donc plutôt judicieux d’accompagner les mutations. Seul le comment mérite un débat.
Et oui ! Sinon, comment expliquer qu’elle soit restée si longtemps en place ? Le "tout va très bien Madame la marquise" finit par lasser et le fusible va sauter.